En observant de près les informations de la Tech, nous pouvons aisément constater que nombre de leurs projets échouent….
L’Humanité vampirisée décrit les processus qui, en théorie, devraient aboutir à la cyborgisation de l’humanité. Ce qui explique ce qui se met en place actuellement avec cette ces personnages, ils ne nous sauveront pas ……
Une révolution technétronique de très haut niveau est sur le point de déferler aux Etats-Unis, ouvrant le champ à son expansion vers le reste du globe.

2025 voit l’officialisation des liaisons dangereuses entre politiques-milliardaires-BigTech
https://www.persee.fr/doc/polit_0032-342x_1971_num_36_3_1980_t1_0324_0000_1
Le 12 novembre 2024, suite à sa réélection, Donald Trump annonce dans un communiqué la nomination de Vivek Ramaswamy pour travailler en collaboration avec Elon Musk au sein du département de l’Efficacité gouvernementale (Wikipédia).
L’arrivée du président Trump au pouvoir va ouvrir cette année 2025 une autoroute à la mise en place de la culture technocratique pure et dure d’une part et à la révolution technétronique d’autre part.
Ainsi, non seulement un cyber gouvernement avec le guichet unique -qui signifie la bascule vers le tout-numérique- pourrait voir le jour, mais en plus l’efficacité pourrait être étendue à la manière dont les capacités des citoyens pourraient être « exploiter », voire maximiser. N’oubliez pas que Elon Musk est le promoteur du puçage du cerveau humain et de la connexion de celui-ci à la machine géante surnommée IA, pour Intelligence artificielle.
Un article sur le sujet nous explique que Elon Musk envisage Neuralink comme une passerelle permettant d’améliorer les capacités humaines grâce à des connexions directes cerveau-ordinateur. Il souhaite créer une symbiose entre l’intelligence humaine et l’intelligence artificielle.
Clic sur le titre pour accéder à l’article:👇.
Musk pense que la technologie de Neuralink pourrait aider à traiter les troubles neurologiques, à restaurer les fonctions sensorielles et motrices et, à terme, à améliorer la cognition humaine.
Les objectifs à long terme de l’entreprise incluent la communication télépathique et l’augmentation de la capacité de mémoire humaine. Musk considère Neuralink comme une étape cruciale pour suivre le rythme de l’évolution rapide de la technologie de l’IA. https://www.mountbonnell.info/elons-austin/mind-control-revolution-musks-brain-chip-turns-thoughts-into-reality-humanitys-future-at-stake

Début 2024, Neuralink a implanté avec succès sa première puce cérébrale sans fil chez un sujet humain. Ce développement révolutionnaire marque une avancée cruciale dans le domaine de la technologie neuronale et rapproche de la réalité la vision d’Elon Musk d’améliorer la cognition humaine.
Le dispositif Neuralink, de la taille d’une pièce de monnaie, contient de minuscules électrodes qui se connectent directement au cerveau. Son but est de permettre une communication directe entre le cerveau humain et des appareils externes. Le premier bénéficiaire de cet implant, Noland Arbaugh, a fait état d’expériences positives avec cette technologie, l’utilisant pour contrôler un curseur d’ordinateur par la pensée. https://www.mountbonnell.info/elons-austin/mind-control-revolution-musks-brain-chip-turns-thoughts-into-reality-humanitys-future-at-stake
L’arrivée en force des délégués de la BigTech pour faire muter l’espace de vie humaine en cybersociété.
Le président élu Donald Trump s’est entouré d’un groupe soudé de riches barons de la technologie dont les idées contribueront à définir son deuxième mandat à la Maison Blanche.
Dans ce visuel interactif (aller sur le site d’origine), on voit l’équipe de milliardaires de la BigTech qui arriveront avec le président élu dans quelques jours.
Trois alliés clés — membres d’un groupe connu sous le nom de « PayPal Mafia » pour leur implication dans la société de transfert d’argent il y a deux décennies — semblent façonner les décisions politiques et de personnel dans la nouvelle administration de Trump, et ils font partie d’un vaste réseau technologique de droite qui accompagnera Trump à son retour au pouvoir.
Le réseau est très interconnecté, partageant non seulement une alliance politique mais aussi des liens sociaux, des opportunités d’investissement, des idées anti-réglementaires et une proximité géographique à Austin, au Texas, ou en Californie du Nord. Certaines de leurs amitiés et relations professionnelles remontent à des décennies, et presque tous les membres du réseau sont des hommes.
Elon Musk, PDG de Tesla et SpaceX, a été qualifié de « président de l’ombre » ou de « premier ami », et il veut porter la hache de guerre au budget fédéral à la demande de Trump en tant que co-directeur du « Département de l’efficacité gouvernementale » nouvellement formé avec l’entrepreneur en biotechnologie Vivek Ramaswamy.
David Sacks, investisseur technologique et podcasteur, jouera le rôle de « tsar » de la technologie de Trump, le conseillant sur l’intelligence artificielle et la cryptomonnaie.
Peter Thiel, un partisan de longue date de Trump, a donné à l’administration Trump entrante un pipeline de personnel rempli d’au moins 10 de ses anciens collègues, employés ou partenaires d’investissement – y compris le vice-président élu JD Vance. Et des dizaines d’autres personnalités du secteur technologique gravitent désormais autour de Trump, en tant que conseillers informels, futurs responsables gouvernementaux ou partisans qui font avancer le programme de Trump depuis l’extérieur de Washington. Si certains d’entre eux ne se sont ralliés à lui que récemment, nombre d’entre eux se connaissent très bien.
Une révolution technétronique de très haut niveau est sur le point de déferler aux Etats-Unis, ouvrant le champ à son expansion vers le reste du globe. Et la question que nous pourrions nous poser à ce stade serait de savoir dans quelle mesure la proximité entre les technocrates révolutionnaires et les législateurs d’un pays aussi important laisserait encore de la place à l’humanité pour ne pas basculer dans sa cyborgisation… En quête du pouvoir absolu,
Le Léviathan de la finance s’arme de la technoscience
Chapitre extrait de la partie I du livre
Le binôme Argent – Complexe militaro-industriel a suscité la plus grande méfiance de certains présidents américains. Lors de son dernier discours à la nation, en 1961, le président Dwight Eisenhower avait invité ses compatriotes à se méfier de « toute influence injustifiée, qu’elle ait ou non été sollicitée, exercée par le complexe militaro-industriel ».
Les mots du président reflètent une connaissance fine des leviers essentiels que se sont octroyés quelques mains privées. Voici un extrait de son discours :
« Le risque potentiel d’une désastreuse ascension d’un pouvoir illégitime existe et persistera. Nous ne devons jamais laisser le poids de cette combinaison mettre en danger nos libertés et nos processus démocratiques. Nous ne devrions jamais rien prendre pour argent comptant. Seule une communauté de citoyens prompts à la réaction et bien informés pourra imposer un véritable entrelacement de l’énorme machinerie industrielle et militaire de la défense avec nos méthodes et nos buts pacifiques, de telle sorte que sécurité et liberté puissent prospérer ensemble.
De même la révolution technologique des décennies récentes fut en grande partie responsable des changements radicaux de notre position militaro-industrielle. Dans cette révolution, la recherche est devenue centrale, elle est également plus formalisée, plus complexe, et coûteuse. Une part toujours croissante en est conduite pour, par, ou sous la direction du Gouvernement fédéral.
Aujourd’hui, l’inventeur solitaire, bricolant au fond de sa boutique, a été dépassé par des troupes de choc formées de scientifiques dans les laboratoires et des centres d’essai. De la même manière, l’université libre, historiquement source d’idées et de découvertes scientifiques nées dans la liberté, a vécu une révolution
Dans la conduite de la recherche. En bonne partie à cause des coûts énormes impliqués, obtenir un contrat avec le gouvernement devient quasiment un substitut à la curiosité intellectuelle. Pour chaque vieux tableau noir il y a maintenant des centaines d’ordinateurs. La perspective d’une domination des spécialistes de notre nation par les emplois fédéraux, les budgets attribués aux projets et le pouvoir de l’argent, [cette perspective] est bien présente et doit être considérée avec gravité.
Cependant, tout en apportant à la recherche et à la découverte scientifiques le respect que nous leur devons, nous devons également être attentif à un danger à la fois aussi grave et opposé, à savoir que l’ordre public puisse devenir captif d’une élite scientifique et technologique. C’est la tâche de l’homme d’état que de mouler, équilibrer, intégrer toutes ces forces, anciennes et nouvelles, aux principes de notre système démocratique – en visant toujours à atteindre les buts suprêmes de notre société libre. »
Forte de ces richesses, l’élite qui a mené la Dépossession et le Coup d’Etat planétaire a compris très tôt les atouts de la technoscience dans sa volonté de conquérir la Nature en général, et l’humain en particulier. Le président Pérès l’avait compris :
« Ce à quoi nous assistons, c’est la transition d’un monde ancien vers un monde nouveau. C’est la fin des territoires et de leur conquête. Nous passons de l’époque des terres et des guerres à un nouvel âge, totalement différent, qui repose sur la science. La science n’est pas quelque chose que l’on doit conquérir par la force. (Le Figaro) »
Dans le cadre de la révolution technétronique, menée par les architectes de la globalisation, la technoscience est devenue un centre de gravité du pouvoir politique. Quant aux activités de Recherche et Développement, elles constituent une priorité stratégique pour qui veut conquérir la planète.
L’entité la plus importante du domaine est la Défense Advanced Research Projects Agency (DARPA) qui est une agence du département de la Défense des États-Unis chargée de la recherche et développement des nouvelles technologies destinées à un usage militaire. Jusqu’à aujourd’hui, la DARPA a été à l’origine du développement de nombreuses technologies qui ont eu des conséquences considérables dans le monde entier dont les réseaux informatiques (notamment l’ARPANET qui a fini par devenir Internet) et le NLS (sigle représentant, en anglais, l’expression « oN-Line System», en français, littéralement, «système en ligne») qui a été à la fois le premier système hypertexte et un précurseur important des interfaces graphiques devenues omniprésentes de nos jours. (Wikipédia)
L’histoire des dieux milliardaires et celle de DARPA sont intimement liées. Exemple parmi une foule d’autres. Le programme Falcon Hypersonic Technology Vehicle 2 (HTV-2) de la DARPA faisait partie d’un plan de recherche et développement pluriannuel pour faire du vol hypersonique de longue durée une réalité. C’est SpaceX, une société d’Elon Musk, qui a développé la technologie, et la DARPA a été le premier client de la société, donnant accès au lancement depuis un site du DoD (Department of Defense) Si Elon Musk a bien pu bénéficier de l’argent du contribuable, le projet quant à lui s’est soldé par un échec. Autre exemple. La DARPA du Pentagone a attribué en 2021 des contrats à Blue Origin, l’entreprise spatiale de General Atomics, Lockheed Martin et Jeff Bezos, dans le cadre du programme DRACO (Demonstration Rocket for Agile Cislunar Operations) de l’agence.
Il est question d’un vaisseau spatial à propulsion nucléaire qui a le potentiel d’atteindre à la fois la puissance élevée d’un système de propulsion chimique et le rendement élevé d’un système électrique. Pour ce projet, les compétences de Jeff Bezos ont retenu l’attention pour lui confier un nouveau contrat de sécurité nationale, qui se concentre sur une variété de projets spatiaux, notamment sa fusée touristique New Shepard, une fusée géante réutilisable appelée New Glenn…
Les dieux milliardaires sont des sous-traitants privés de programmes militaires. Le financement avec l’argent public de projets plus ou moins raisonnables, plus ou moins démesurés, explique l’immensité de leurs richesses. Pourquoi ces individus et pas d’autres ? Souvent il faut regarder leur généalogie pour comprendre.
L’un des principaux mécènes de l’Institut français de Biologie Physico-Chimique expliquait que « La guerre a montré que le concours des Sciences physico-chimiques était indispensable à la défense nationale et que, dans la paix, les découvertes des Sciences physico-chimiques peuvent apporter une contribution puissante au progrès économique du Pays. Conformément à ces considérations, la Fondation se donne pour objet d’encourager la formation d’une élite de savants en les mettant à l’abri des soucis matériels et en dirigeant leurs travaux dans la voie des applications de la Science au développement des forces économiques de la Nation », dixit le petit fils d’Edmond de Rothschild.
Si M. Eisenhower nous offre la connaissance du levier de ce qui est devenu à l’heure actuelle l’enjeu principal qui menace notre avenir en tant qu’humanité, M. de Rothschild nous explique comment le mécénat pourrait inféoder la Science aux besoins commerciaux, industriels, et politiques du petit nombre qui vise le contrôle de la planète.
Payer grassement les scientifiques est une politique redoutable. Lui faire quitter son intérêt pour le bien public pour abonder dans le sens de l’intérêt privé. Dès lors, il ne faut pas s’étonner de trouver le monde de l’argent et de la guerre dans les parages des célébrités technoscientifiques. Il ne faut pas s’étonner de la remise en question de la méthodologie scientifique fondée sur la rigueur, l’observation, la récurrence, etc.
Cependant, la question est de savoir pourquoi autant d’énergie et d’argent gaspillés dans des projets ultra- polluants qui se soldent très régulièrement par des échecs ? Existerait-il autre chose de plus essentiel qui alimenterait cette révolution technétronique ?
De très puissants milliardaires attendent la singularité technologique pour muter en dieux qui auraient à leur service le restant de l’humanité. La révolution technétronique devrait leur offrir un pouvoir durable, même si le prix pour y arriver devait être l’avènement du post-humanisme. Nous comprenons la fin de l’humanité après qu’elle ait été intégrée à la machine. « Le post-humanisme est un courant de pensée né à la fin du xxe siècle, qui
Traite du rapport de l’humain aux technologies (biotechnologies incluses) et du changement radical et inéluctable que cette relation a provoqué ou risque de provoquer dans l’avenir.
Le mot aurait été publié la première fois par Peter Sloterdijk en 1999, lors d’un colloque consacré à Heidegger et à la fin de l’humanisme, Sloterdijk postulant « que le développement des technosciences imposait d’envisager un nouveau système de valeurs accompagnant la production d’êtres nouveaux et légitimant le pouvoir de ceux qui bénéficieront des technologies d’augmentation de l’être humain ». Pour P Sloterdijk le transhumanisme, encore mal défini, serait une transition vers le posthumanisme. Il se veut international, avec une association World Transhumanist Association créée en 1988 puis renommée «Humanity+ ». (Wikipédia)
Sans les apprentis dieux, la technoscience telle que nous la connaissons n’existerait probablement pas. Pourquoi ? Parce que tout simplement, théories et produits scientifiques sont gourmands en argent aussi longtemps qu’ils ne sont pas vendables. Or, selon les cas, ils mettent non seulement beaucoup de temps avant d’être commercialisables, mais dans bien des cas, ils engloutissent des sommes faramineuses durant de nombreuses années où ils sont mis à disposition gratuitement, le temps de la validation et de la collecte de données.
Prenez les exemples de Facebook, de Uber, de SpaceX ou d’Open AI. Dans ces derniers cas, leur mise au point a coûté des milliards sur de nombreuses années. Comment a-t-on fait pour calculer la rentabilité de Facebook, de Uber, et de bien d’autres ? Pourtant si ces dépenses folles ont bien eu lieu, c’est qu’elles servent un projet plus important encore que les richesses tangibles investies.
Si la technoscience a pris le pouvoir sur l’humanité, c’est parce que tout simplement elle fait partie des piliers stratégiques de très grands milliardaires qui visent le pouvoir planétaire suprême ; et cela ne date pas d’hier. Par conséquent, plus la technoscience s’impose dans l’espace de la société et du fonctionnement de la planète elle-même, et plus le pouvoir de ses propriétaires s’accroît en proportion.
En France, la famille Rothschild est omniprésente dans le financement de scientifiques, dont celui de l’Institut Pasteur. Le Baron Alphonse de Rothschild (fin 19ème siècle) fut l’un de ses plus importants donateurs de la première heure. Le buste du mécène trône en bonne place à côté d’autres milliardaires de l’époque. La tradition s’est depuis poursuivie dans la célèbre famille. Un article des Échos titrait que Les sciences de la vie ont scellé l’alliance de la Compagnie financière Edmond de Rothschild avec l’Institut Pasteur pour créer un fonds commun de placement à risque, dénommé Bio Discovery. » Au menu du programme, on trouve les… vaccins.
À l’époque où Louis Pasteur développait son approche sur les vaccins, un autre scientifique combattait celle-ci avec force. Il s’appelait Antoine Béchamps, et, contrairement à Pasteur, il disait que « le virus n’est rien (ou pas grand-chose), tout est une question de terrain».
C’est Pasteur qui emportera la mise. Et grâce aux Rothschild, et à leurs investissements dans les Pharmas, le tout-vaccin va pénétrer le monde de la santé publique. Une extraordinaire rente de situation, doublée du contrôle du système immunitaire de l’humanité.
En rendant les vaccins obligatoires, la santé publique est devenue une source intarissable de gains. On se souvient de la conférence du patron des laboratoires GSK qui donnait une leçon à son auditoire en lui expliquant comment ils ont été « successful ».
Les milliardaires américains ont mis en place une stratégie similaire grâce à des fondations philanthropiques. En 1913, le richissime pétrolier John Davison Rockefeller et son partenaire Frederick T. Gates constituaient la Rockefeller Foundation, dont le but était de « promouvoir le bien-être de l’humanité dans le monde ». Le même pétrolier milliardaire était critiqué en 1914 pour avoir orchestré un massacre sanglant contre des mineurs de charbon – ses propres employés – en grève. Et c’est la même personne qui a pris la posture du philanthrope qui promeut la santé des pauvres et des enfants.
En 1921, Edmond de Rothschild créait la fondation qui porte son nom, destinée à financer les recherches scientifiques françaises. Récemment, nous découvrions que l’un des représentants de son Conseil d’administration, était présent simultanément au sommet de la direction de l’Institut de Biologie physico-chimique du CNRS(IBPC), et à la tête du secteur vaccination de l’État français.
le professeur Alain Fischer était simultanément, en juin 2021, président de la fondation EdR et présent au top niveau opérationnel de l’IBPC! A la même période, il était nommé Monsieur vaccin anti-Covid pour la France. Il a influencé les autorités sanitaires pour rendre obligatoire le vaccin covid, chez les enfants et les femmes enceintes, alors que le produit était encore en phase expérimentale.
Nous pouvions entendre en direct le baron Jean Stephenne, ex-PDG de la division vaccins de GSK, leader européen des vaccins, dire « Je dirais que nous avons surpris toute l’industrie en disant ben voilà, nous avons acheté tous les brevets sur l’hépatite B. C’était la première fois qu’un vaccin était protégé par un brevet. Nous avons tous les brevets, et maintenant, vous les concurrents, si vous voulez venir sur le marché, vous allez devoir négocier avec nous. Et je pense que c’est comme ça que la société s’est créée et est devenue successful. Et puis après, on a développé si vous voulez des vaccins combinés. C’est-à-dire qu’on a mis l’hépatite B avec d’autres produits qui n’étaient pas protégés par brevets et en faisant ça évidemment, on rendait les produits combinés protégés. Mais donc la stratégie, ce n’est pas plus compliqué que ça. Avoir l’esprit marchand et économique est très important, en parallèle de l’esprit scientifique et innovation ». Une intervention suivie d’un tonnerre d’applaudissements.
Coup d’État planétaire, 2019
À relever que M. Fischer est monsieur vaccin pour la France depuis de nombreuses années. C’est lui qui, sous la direction de la ministre Agnès Buzyn, avait rendu obligatoires 11 vaccins pour les petits français. Dans le rapport qu’il a remis à la ministre, il y suggérait d’obliger… pour mieux convaincre. Une logique particulière, mais que la ministre a suivie.
M. Fischer est aussi un fervent adepte du génie génétique, un des piliers NBIC du transhumanisme, phase transitoire qui mène au post-humanisme (cyborg). Évidemment, cela pose la question du bon usage des vaccins à base de nanotechnologies à l’ARN administrés à des personnes saines. Autant nous pouvons comprendre la démarche de thérapie génique pour une personne consentante dont la santé est défaillante, autant sa généralisation, rendue obligatoire, aux personnes en bonne santé est problématique.
Outre-Atlantique, la mise en place d’une puissante révolution par la R&D technoscientifique a été menée par la famille Rockefeller tout le long du 20ème siècle. Cette dernière a fourni le carburant (c’est le cas de le dire) pour que la science et la technologie, via les académies et leurs laboratoires financiarisés, acquièrent la position dominante actuelle.
Les plus grandes figures de la science qui ont été célébrées ont eu affaire à un moment ou un autre à l’argent des milliardaires. Le père jésuite Pierre Teilhard de Chardin, inventeur de l’appellation transhumaniste fut, durant les dernières années de sa vie, boursier de la Wenner-Gren Foundation, du nom du créateur de la marque
Electrolux. Ce mécène pro nazi, surnommé le Rockefeller de Suède, figurait sur la liste noire américaine… Il était accusé d’être un des principaux personnages de coulisse qui ont financé la Seconde guerre mondiale… Il aurait aussi financé les nazis entre 1932 et 1942 depuis une banque des Bahamas, et aurait caché l’or nazi en Amérique du Sud.
La célébration des 50 ans du décès de Teilhard a réuni nombre d’acteurs de planète finance, dont Steven Rockefeller, président du Rockefeller Brothers Fund, et président du comité international de rédaction de la Charte de la Terre.
Les travaux de Norbert Wiener, (1894-1964), père de la cybernétique moderne, ont été financés par la fondation Rockefeller. Le concept de cybernétique a été dès le premier jour soutenu et encouragé par celle-ci.
En 1932, un mathématicien du nom de Warren Weaver a été nommé au poste de directeur des sciences naturelles. Il s’est attaché à intensifier l’expansion des efforts de la Fondation Rockefeller dans le nouveau domaine émergent de l’informatique. Dans les années 1930, alors que Weaver et son équipe ont très vite saisi l’importance des promesses des dispositifs de calcul mécaniques, dans le cadre de solutions mécaniques, pour faire face à des problèmes complexes. C’est pourquoi la Fondation a financé l’énorme ordinateur analogique de Vannevar Bush au Massachusetts Institute of Technology (MIT), qui a finalement été inauguré en 1942 et nommé Rockefeller Differential Analyzer.
Les ordinateurs sont des outils de base indispensables à la mise en place d’une cybernétique ambitieuse qui peut prendre en charge en temps réel l’ensemble des informations et communication planétaire.
John von Neumann, partenaire de Norbert Wiener dans le cadre des Conférences de Macy, est un scientifique célèbre qui a œuvré pour le programme de recherche Manhattan. Dans la liste des boursiers de la Fondation Rockefeller, nous retrouvons le prestigieux nom d’Albert Einstein. Résumons. La Fondation Rockefeller a financé les scientifiques qui comptent du début du 20ème siècle, dont un des résultats majeurs est celui qui a mené à la création de la cybernétique, et à la conception d’une Santé publique contemporaine, soumise aux milliardaires. Son action rayonne à travers la planète. Sa présence en Chine dès 1914, Elle y a créé le China Medical Board, qui a créé la première université de santé publique en Chine, le Peking Union Medical College, en 1921. Par la suite, celui-ci a été nationalisé par les communistes en 1949. La même année, il a lancé un programme de bourses internationales pour former des universitaires dans de nombreuses universités du monde au niveau post- doctoral. La Fondation a également maintenu une relation étroite avec l’Université Rockefeller (également connue sous le nom de Rockefeller Institute for Medical Research) avec de nombreux professeurs occupant des postes qui se chevauchent entre les institutions (Wikipédia).
À ce stade, nous pouvons constater que la fondation mondialisée a pu acheter avec ses pétrodollars, un nombre incalculable de membres de la fine fleur du secteur de la Science académique, et forcément des titulaires de fonctions dans les organismes nationaux et supranationaux gouvernementaux, des ONG, ou d’ailleurs. Une pieuvre dont les tentacules ont infiltré, et potentiellement corrompu, l’ensemble des processus de la planète santé.
A suivre….