La loi martiale et état de siège

La loi martiale est l’instauration dans un pays d’un État juridique d’exception, au sein duquel l’armée assure le maintien de l’ordre à la place de la police ou en collaboration avec celle-ci. C’est le chef d’État qui « invoque » la loi martiale, ce qui signifie que le chef d’État major des armées prend le pouvoir pendant un temps délimité. Ce type de norme juridique est comparable dans une certaine mesure à l’état de siège.

La loi martiale est proclamée lors d’une crise profonde au sein d’un État, dans le cas d’un coup d’État ou d’une guerre civile. C’est le gouvernement qui est amené à instaurer la loi martiale, c’est l’armée qui l’exécute.

Publication de la loi martiale et fusillade sur le Champ-de-Mars.

Le terme « martial » dérive du nom de Mars, dieu de la guerre dans la mythologie romaine.

Elle se traduit généralement par la suspension totale ou partielle des libertés fondamentales des citoyens, notamment celles de se rassembler, de manifester et de ne pas être emprisonné sans fondement judiciaire.

La loi martiale n’entre en vigueur qu’en raison d’une situation exceptionnelle, ou perçue comme telle. En voici quelques exemples :

Proclamation de la loi martiale par le régime communiste polonais1981.

  • Aux Philippines, à la suite d’une fusillade entre les forces de l’ordre et des individus en liens avec le terrorisme (jihadistes ayant prêté allégeance au groupe État islamique) , le président a instauré, le mardi 23 mai 2017, la loi martiale sur l’île de Mindanao.
  • En Ukraine, le 25 novembre 2018, après que trois bateaux ukrainiens ont tenté de traverser le détroit de Kertch en passant sous le pont de Crimée reliant la péninsule à la Russie. De vives tensions se sont ensuivies entre la Russie et l’Ukraine. La Russie a fait usage de la force contre les trois navires (le Berdiansk, le Nikopol et le Yany Kapu). Le Président ukrainien Petro Porochenko signe le décret instaurant la loi martiale pour 60 jours le 26 novembre 2018. Celui-ci est approuvé par le Parlement ukrainien pour 30 jours sur les régions de l’Ukraine touchant une frontière sensible.
  • En Arménie et en Azerbaïdjan, à partir du 27 septembre 2020, jour où l’Azerbaïdjan a attaqué le Haut-Karabakh -selon son gouvernement, en réponse à des attaques arméniennes- et où on rapporte au moins 24 morts, dont 16 militaires[3],[4]
  • En Birmanie le 08 février 2021 lorsque l’armée prend le pouvoir durant le coup d’état.
  • En Ukraine, le 24 février 2022 à la suite de l’entrée de l’armée russe sur le territoire dans la nuit après plusieurs mois de tension diplomatique[5].
  • Dans les régions ukrainiennes de Kherson, Zaporijjia, Lougansk et dans le Donbass le 19 octobre 2022.

L’état de siege:

En France, l’état de siège est un dispositif législatif et constitutionnel permettant le transfert de pouvoirs de police de l’autorité civile à l’autorité militaire, la création de juridictions militaires et l’extension des pouvoirs de police. Ce type de norme juridique est comparable dans une certaine mesure à la loi martiale.

L’état de siège est créé sous sa forme actuelle par la loi du 3 avril 1878. Les premières applications de l’état de siège en France ont été instituées pour mettre fin à des troubles intérieurs, comme les journées de Juin 1848, ou pendant la Commune de Paris en 1871. Il est déclaré plus tard durant la Première et la Seconde Guerre mondiale.

La Constitution de 1958 a encadré cette disposition dans son article 36.

Il ne peut être mis en œuvre que sur une partie du territoire, après délibération du Conseil des ministres et avec signature du président de la République, lorsqu’il y a péril imminent du fait d’une insurrection armée ou d’une guerre. Pendant l’état de siège, il y a un transfert de pouvoirs des autorités civiles aux autorités militaires. La prolongation de l’état de siège au-delà de 12 jours est soumise à l’autorisation du Parlement.

L’état de siège tire son nom du statut des places fortes assiégées. Dans le système des Provinces de l’Ancien Régime, chaque place forte a un gouverneur qui est représentant local du roi, à titre aussi bien militaire que civil, et relève directement en temps normal du gouverneur de la province. Quand la place est assiégée et donc isolée, c’est son gouverneur qui y assume naturellement les pouvoirs régaliens, en dirige la défense et ce qui y concourt (gestion des travaux publics, logement de la troupe, rationnement des vivres…), aidé des autorités municipales (cf. l’ordonnance pour régler le service dans les places, du 1er mars 1768).

Pendant la Révolution, le système provincial est aboli en 1791, et la centralisation jacobine aboutit à distinguer les pouvoirs, jusque-là confondus, des futurs ministères de la défense et de l’intérieur. Dans une place assiégée, on ne peut cependant toujours pas tolérer deux autorités « concurrentes ». L’impératif de défense primant, l’ensemble des pouvoirs de justice et de police (maintien de l’ordre et sûreté), mais aussi ce qui y concourt, est placé sous l’autorité du gouverneur militaire de la place, seul responsable de (tout) ce qui s’y passe devant le gouvernement. Un certain nombre de délégations et d’arrangements est en général concédé aux autorités civiles (maire notamment) en ce qui a trait à la gestion quotidienne de la population civile (loi sur la conservation des places de guerre du 10 juillet 1791).

Avec la création, en 1791 toujours, des divisions militaires territoriales, la notion d’état de siège peut également prendre une tournure « zonale » pour pouvoir concerner un territoire, une région tout entière. Les juristes distinguent alors l’état de siège proprement dit, qui ne concerne que les lieux assiégés (cf. par ex., ci-dessous, lois de 1789 et 1791), et l’état de siège politique (loi de 1849), qui peut être défini comme « une institution politique conçue pour les situations de grave danger pour la sécurité nationale »[1]. Toutefois, que ce soit dans la Constitution de 1852 (art. 12) ou dans la loi de 1878, l’état de siège doit être restreint dans l’espace : il n’a pas vocation à s’appliquer à tout le territoire, mais seulement à « un ou plusieurs départements » selon l’expression de la Constitution de 1852[2].

Aussi la loi des 8=10 juillet 1791 prévoyait-elle, en son article 8, que : « L’état de guerre sera déterminé par un décret du Corps législatif, rendu sur la proposition du Roi, sanctionné et proclamé par lui ».

Elle précisait, en son article 9, que : « Et dans le cas où le Corps législatif ne serait pas assemblé, le Roi pourra, de sa seule autorité, proclamer que telles places [de guerre] ou postes [militaires] sont en état de guerre, sous la responsabilité personnelle des ministres ; mais, lors de la réunion du Corps législatif, il délibérera sur la proclamation du Roi, à l’effet de la valider ou de l’infirmer par un décret ».

L’article 7 de la loi des 8=10 juillet 1791 disposait, en effet, que :

« Dans les places de guerre et postes militaires, lorsque ces places et postes seront en état de guerre, les officiers civils ne cesseront pas d’être chargés de l’ordre et de la police intérieurs ; mais ils pourront être requis, par le commandant militaire, de se prêter aux mesures d’ordre et de police qui intéresseront la sûreté de la place : en conséquence, pour assurer la responsabilité respective des officiers civils et des agents militaires, les délibérations du conseil de guerre, en vertu desquelles les réquisitions du commandant militaire auront été faites, seront remises et resteront à la municipalité. »

illustration Les Fouetteuses de la Révolution française

L’article 11 de la loi des 8 et 10 juillet 1791 prévoyait que :


Loi du 10 fructidor an V, déterminant la manière dont les communes de l’intérieur de la République pourront être mises en état de guerre ou de siègeModifier

Sous le Directoire, la loi du 10 fructidor an V (27 août 1797), déterminant la manière dont les communes de l’intérieur de la République pourront être mises en état de guerre ou de siège[8], peut être considérée comme la première loi sur l’état de siège politique, dans la mesure où elle s’applique au-delà des places assiégées pour concerner les communes de l’intérieur. De plus, elle prend en compte non seulement la menace militaire (provenant donc d’un État ennemi), mais également civile ou insurrectionnel – en s’intéressant à l’investissement des villes par les rebelles.

La déclaration de l’état de siège par le Directoire reste soumise à l’autorisation d’une loi. Toutefois, neuf jours plus tard, le lendemain même du coup d’État du 18 fructidor an V, le Directoire se fit attribuer, par les débris survivants de la Représentation nationale, le pouvoir de déclarer seul l’état de siège.

À l’audience du 29 juin 1832, Odilon-Barrot, avocat du condamné, présenta devant la Cour trois thèses de droit dont chacune soulevait une grave question.

Il soutint, en effet, que :

  1. La mise en état de siège d’une ville par une simple ordonnance, quand il n’y a pas eu investissement, quand les communications n’ont pas été interrompues, est un acte illégal qui est réputé ne pas exister ;
  2. Au cas où l’état de siège pourrait être considéré comme légal et constitutionnel, la conséquence n’a pu être d’enlever les citoyens à leurs juges naturels, et d’effacer pour eux les articles 53 et 54 de la charte du 14 août 1830 ;
  3. Au cas, enfin, où l’état de siège serait légal, et en admettant qu’il puisse y avoir lieu à déplacement de juridiction, l’ordonnance royale du 6 juin 1832 ne pourrait être rétroactive et s’appliquer indéfiniment à tous les faits antérieurs à sa promulgation.

l’encontre de la loi qui ne prévoyait aucune restriction sur ce sujet[2]. Alors qu’une certaine jurisprudence et quelques lois amorcent timidement un statut des fonctionnaires au début du xxe siècle, celui-ci est suspendu à la faveur de l’état de siège, d’une façon allant bien au-delà de ce que permettait, en principe, la loi[2]. Cela donne ainsi naissance à l’arrêt Heyriès, en 1918, l’un des Grands Arrêts du Conseil d’État, qui constitue une « véritable doctrine des pouvoirs de crise » d’origine prétorienne[23], parallèle aux formes législatives et constitutionnelles permettant de décréter l’état d’urgence (loi du 3 avril 1955), l’état de siège(art. 36 de la Constitution de 1958) ou la reconnaissance de « pouvoirs exceptionnels » accordés au président de la République (art. 16 de la Constitution).

Hôtel du Parc, Vichy, siège et bureau du gouvernement de Vichy présidé par Pétain

Application pendant la seconde guerre mondialeModifier

Articles connexes : Seconde Guerre mondiale et Histoire de France#La crise des années trente et la Seconde Guerre mondiale.

Le décret-loi du 1er septembre 1939 portant déclaration de l’état de siège fit à nouveau application de cette légalité d’exception, dont la levée intervint le 12 octobre 1945[17].

Loi du 7 décembre 1954, portant révision de la Constitution du 27 octobre 1946Modifier

Dans sa version initiale, la Constitution du 27 octobre 1946 ne comportait pas de disposition particulière relative à l’état de siège.

L’article 1er de la loi constitutionnelle du 7 décembre 1954 compléta l’article 7 de la Constitution, en y ajoutant la disposition suivante : « L’état de siège est déclaré dans les conditions prévues par la loi »[26].

Constitution du 4 octobre 1958Modifier

L’article 36 de la Constitution de 1958 a encadré le régime de l’état de siège en confiant son initiative au Gouvernement et son contrôle au Parlement à partir du treizième jour.

Le code de la défense prévoit sept régimes d’application exceptionnelle[27] :

  1. La guerre ;
  2. L’état de siège[28];
  3. L’état d’urgence, qui demeure régi par la loi no 55-385 du 3 avril 1955[29] modifiée, instituant un état d’urgence ;
  4. La mobilisation, qui, lorsqu’elle est générale[30], consiste en la mise en œuvre de « l’ensemble des mesures de défense déjà préparées »[31] et la mise en garde, qui consiste en la mise en œuvre de « certaines mesures propres à assurer la liberté d’action du Gouvernement, à diminuer la vulnérabilité des populations ou des équipements principaux et à garantir la sécurité des opérations de mobilisation ou de « mise en œuvre des forces militaires »[32] ;
  5. Le service de défense, qui consiste en la mise en œuvre de mesures propres « à assurer la continuité de l’action du Gouvernement, des directions et services de l’État, des collectivités territoriales, et des organismes qui leur sont rattachés, ainsi que des entreprises et établissements dont les activités contribuent à la défense, à la sécurité et à l’intégrité du territoire, de même qu’à la sécurité et la vie de la population »[33] ;
  6. Les « sujétions résultants des manœuvres et exercices », qui permet notamment à l’autorité militaire, « pour l’exécution des exercices de tirs, marches, manœuvres ou opérations d’ensemble » que comporte l’instruction des troupes, (…) soit d’occuper momentanément les propriétés privées, soit d’en interdire temporairement l’accès »[34] ;
  7. Le « dispositif de réserve de sécurité nationale ».

La Constitution de 1958 prévoit de plus, dans son article 16, que le président de la République puisse prendre des « dispositions exceptionnelles », de nature législatives et administratives pour rétablir au plus vite les pouvoirs constitutionnels réguliers.

Cas où l’état de siège peut être déclaréModifier

L’état de siège ne peut être déclaré, par décret en conseil des ministres, qu’en cas de péril imminent résultant d’une guerre étrangère ou d’une insurrection armée[35].

Formes de la déclaration de l’état de siègeModifier

Déclaration par décret du Président de la RépubliqueModifier

L’état de siège est déclaré par décret en conseil des ministres.

Le décret désigne le territoire auquel il s’applique et détermine sa durée d’application[35].

Prorogation par la loiModifier

  • espionnages ;
  • Articles 412-1 et 412-2 : Attentat et complot ;
  • Articles 412-3 à 412-6 : Mouvement insurrectionnel ;
  • Articles 412-7 et 412-8 : Usurpation de commandement, levée de forces armées et provocation à s’armer illégalement ;
  • Articles 413-1 à 413-8 : Atteintes à la sécurité des forces armées et aux zones protégées intéressant la défense nationale ;
  • Articles 413-9 à 413-12 : Atteintes au secret de la défense nationale ;
  • Articles 432-1 à 432-3 : Abus d’autorité dirigés contre l’administration ;
  • Articles 432-4 et 432-5 : Atteintes à la liberté individuelle ;
  • Articles 432-11 : Corruption passive et du trafic d’influence commis par des personnes exerçant une fonction publique ;
  • Articles 433-1 et 433-2 : Corruption active et du trafic d’influence commis par les particuliers ;
  • Article 433-3 : Menaces et actes d’intimidation commis contre les personnes exerçant une fonction publique ;
  • Article 433-8, alinéa 2 : Rébellion armée commise en réunion ;
  • Articles 442-1 à 442-3 : Fausse monnaie ;
  • Articles 443-1 : Contrefaçon ou falsification des effets émis par le Trésor public avec son timbre ou sa marque ou des effets émis par les États étrangers avec leur timbre ou leur marque, ou usage ou transport de ces effets contrefaisants ou falsifiés ;
  • Articles 444-1 : Contrefaçon ou falsification soit du sceau de l’État, soit des timbres nationaux, soit des poinçons servant à marquer les matières d’or, d’argent ou de platine, ou usage de ces sceaux, timbres ou poinçons, contrefaisants ou falsifiés ;
  • Articles 444-2 : Usage frauduleux du sceau de l’État, des timbres nationaux ou des poinçons servant à marquer des matières d’or, d’argent ou de platine ;
  • Articles 450-1 : Association de malfaiteurs.

Les juridictions militaires peuvent en outre connaître :

  • Des faits sanctionnés par l’article 476-7 du code de justice militaire ;
  • De la provocation, par quelque moyen que ce soit, à la désobéissance des militaires envers leurs chefs dans tout ce qu’ils leur commandent pour l’exécution des lois et règlements militaires ;
  • De la provocation, par quelque moyen que ce soit, aux crimes d’assassinat, de meurtre, d’incendie, de pillage, de destruction d’édifices, d’ouvrages militaires ;
  • Des délits commis par les fournisseurs en ce qui concerne les fournitures destinées aux forces armées, dans les cas prévus par les articles L. 213-1 à L. 213-5 du code de la consommation et les lois spéciales qui s’y rattachent ;
  • Des faux commis au préjudice des forces armées et, d’une manière générale, tous crimes ou délits portant atteinte à la défense nationale.

Ce régime exceptionnel cesse de plein droit à la signature de la paix[37] ou à la révocation de l’état de siège.

La réalité techno-fasciste du Nouveau Monde.

Le crédit social s’installe en Europe.

Le techno-fascisme ne finit pas de s’installer dans les pays anciennement qualifiés de démocratiques ou de libres. Pourtant, l’Occident des politiques poursuit les mêmes objectifs d’organisation sociale que les Chinois. La différence réside dans le marketing qui vise à préserver l’image d’un intérêt pour l’humain et pour une économie de marché.                                            

                                             Dans les faits rien n’est plus faux.

Longuement analysé, le fait que ledit marché n’existe plus depuis bien longtemps et que les petits agents économiques locaux ont intérêt à bien le comprendre et vite et cela ne signifie pas qu’il faille boucler son entreprise. Non. Mais il faut certainement se débarrasser de tout ce qui relie aux tenants des capitaux ; à savoir les banquiers et ceux qui gèrent les parcs immobiliers commerciaux. Ce qui est dit là est urgent !

Voici une preuve, s’il en fallait encore, de la décision politique supranationale qui met à mort les acteurs locaux. Elle nous vient cette fois des Etats-Unis et plus précisément de Mme Yellen. Elle aurait rappelé que les déposants des banques non systémiques ne seraient pas protégés comme ceux des grandes Too big to fail. Rien de nouveau sous le soleil, mais là les gens commencent à écouter et prendre conscience de ce qui est dénoncé ici depuis des années.

https://www.cnbc.com/2023/03/16/svb-signature-bank-failures-yellen-says-us-banking-system-is-stable-and-deposits-remain-safe.html

Cette loi too big to fail représente la quintessence de la malfaisance de Planète finance. Au travers d’un papier dédié à Mme Eveline Widmer-Schlumpf, la grande architecte de la restructuration de la place financière suisse qui avait légalement rendu les citoyens-contribuables suisses responsables des délits et crimes des grandes banques suisses. Voici un extrait du papier.

Il y aura un avant et un après-Eveline Widmer-Schlumpf. En attendant, ses actions choquent de plus en plus, aussi bien sur le fond que sur la forme. Eveline Widmer-Schlumpf n’en a cure. Sa résilience résiste à tout.

Eveline Widmer-Schlumpf polarise la vie publique. Son monde semble se diviser entre les tenants de la finance (grandes banques too big to fail), de la puissance (Etats-Unis, Union européenne…) et du pouvoir (Fonds monétaire international, OCDE…), d’une part, et le peuple suisse, ses élus et ses PME, d’autre part. Son comportement semble aussi à géométrie variable. Son style de négociation avec les puissants relève d’une soumission doublée de grande générosité. On la voit multiplier concessions et chèques en blanc sans contrepartie aucune.

Face au peuple et à ses élus, Eveline Widmer-Schlumpf pratique le «there is no alternative» cher à Mme Thatcher. Le problème de la méthode est qu’Eveline Widmer-Schlumpf a, elle, un problème de légitimité pour se permettre de contrer l’opinion publique et de se passer de soumettre sa politique aux référendums. Son parti ne représente que 4,5% d’élus au National et 2% aux Etats. Sa présence même au Conseil fédéral relève du miracle.

https://www.letemps.ch/economie/eveline-widmerschlumpf-allee-loin

Vous comprenez que les dirigeants du Crédit Suisse n’ont aucun souci à se faire. Ils vont non seulement recevoir des sommes extravagantes (50 milliards) de la BNS sans aucun débat public, mais aussi et surtout n’auront aucun souci à se faire quant à d’éventuelles poursuites contre leur personne. Immunité totale et parfaite. Ainsi l’avait voulu Mme Widmer-Schlumpf qui s’est recyclée dans la gestion du destin des personnes âgées…. On évitera de parler de la gestion des personnes âgées durant le Covid. Ça ferait too much.

Mais pourquoi donc cet acharnement à tuer le marché et les petits agents économiques, alors qu’au même moment on booste les grosses entreprises de toutes les manières possibles, y compris en impliquant les banquiers centraux ? Pourquoi déposséder de manière aussi humiliante les gens de leur argent alors qu’ils l’ont gagné à la sueur de leur front, contrairement aux faux-monnayeurs légitimés ?

Oui, pourquoi ? Parce que la dépossession généralisée des 99% des acteurs économiques poursuit un objectif politique global impensable pour l’individu normal:

Arrêter l’économie comme nous l’avons connue !

Le monsieur vous a dit que vous n’aurez plus rien. Et il a raison. Ce n’est pas son projet à lui. Il n’en est que le énième sous-fifre. Et alors me direz-vous comment allons-nous nous loger, manger, etc. ? Planète finance va s’occuper de faire survivre ceux qui en sont dignes; c’est-à-dire ses serviteurs.

                                               Et le système de Crédit social.

car c’est un système, global, car planétaire, va faire des uns et des autres une ressource qui répond, ou pas, aux critères requis pour être digne, ou pas, de vivre dans la société. Et vous savez quoi ? L’implantation de ce modèle de société a fait un bond de géant grâce à la technicisation de la société durant la « crise » du Covid.

                                                       L’Europe n’y échappe pas.

                 Voir ci-dessous un texte de 2022 qui nous vient de Bon pour la tête.

Derrière le Crédit social et la société de techno surveillance on trouve le système Skynet du nom d’un personnage de Terminator. SpaceX de Elon Musk est de l’aventure bien sûr

Le même Musk qui s’intéresse à vous implanter sa petite puce dans le crâne. Au fait, tous les petits singes qui ont servi de cobayes sont morts. Mais cela ne l’empêche pas de demander à implanter les humains. Au vu des résultats désastreux, la FDA a refusé…

Venu de Chine, le crédit social se répand en Europe

On le disait dystopique, on le contemplait effarés dans la fiction « Black Mirror» en 2016, il est pourtant devenu réalité en Chine en 2020, et fait des petits rapidement. Le premier né est italien. Le second pourrait-il être suisse ?



Le crédit social a pénétré l’Europe, il fait une petite percée au nord-est de l’Italie, à 380 kilomètres du Simplon, plus précisément en Emilie-Romagne à Bologne, ville de 394’374 habitants surnommée «la Rossa » (la Rouge) pour ses tuiles en terre cuite, vantées dans les guides touristiques, mais aussi en référence au communisme, dont elle était le bastion durant un demi-siècle. 

                                         De quoi parle-t-on ?

Le crédit social était testé dans certaines provinces de Chine depuis 2013. Il faut croire que cet essai a été jugé concluant puisque depuis 2020, il est appliqué dans l’ensemble du pays, soumettant 1,4 milliards d’individus à la première dictature numérique au monde. Les habitants se voient attribuer une note en fonction de leurs actions. Moins une personne a de points, moins elle a de droits. Pour ce faire une veille internet est réalisée, la géolocalisation utilisée, la délation généralisée encouragée. Quelque 600 millions de caméras intelligentes, capables de reconnaître les visages malgré le port du masque, ont été installées, contre 176 millions en 2016. Cette nouvelle version du totalitarisme s’est accélérée avec la pandémie. Des caméras thermiques permettent même de débusquer les personnes fiévreuses. Elles sont embarquées sur les casques des policiers et dans les transports publics. L’arsenal du gouvernement ne semble pas vouloir s’arrêter là, même des drones sont utilisés. A court terme, ce sont 2,76 milliards de caméras qui sont envisagées. L’objectif d’ici 2030, pour le gouvernement chinois, n’est pas seulement de renforcer sa sécurité intérieure, c’est aussi de devenir le leader mondial de l’intelligence artificielle.

                                             Comment ?

Au début, en Chine, le crédit social n’a pas non plus été déployé partout. Il était très disparate dans la forme, mais globalement il s’agissait d’être valorisé, mis en avant, si on était un citoyen modèle. Pour certains, être affiché en grand sur les panneaux de la ville constituait une fierté. Aujourd’hui, il faut regarder le documentaire «Tous surveillés: 7 milliards de suspects», pourtant réalisé avant la pandémie, pour mesurer l’ampleur du phénomène. « Les mauvais citoyens sont expulsés hors des villes, leurs visages défilent sur des panneaux lumineux pour les humilier. Dans certaines provinces les autorités leur ont attribué une sonnerie de téléphone particulière – « la personne que vous essayez de joindre a été mal notée par le tribunal, merci de l’inciter à se responsabiliser et de l’aider à respecter la loi ». Aujourd’hui, plus de 20 millions de citoyens chinois seraient placés sur liste noire. »

Dès la rentrée 2022, voici ce qui attend les Bolonais : Le Smart Citizen wallet. Dans le journal Corriere di Bologna, le conseiller pour l’agenda numérique Massimo Bugani explique que l’idée s’apparente au mécanisme d’une collecte de points de supermarché. « Les citoyens seront reconnus s’ils trient leurs déchets, s’ils utilisent les transports en commun, s’ils gèrent bien l’énergie, s’ils ne prennent pas de sanctions de la part de l’autorité municipale, s’ils sont actifs avec la carte culture.» Naturellement, c’est sur la base du volontariat. Pour le moment, c’est seulement à titre expérimental, et ne donne que des avantages à celui qui accepte de participer. 

                                                   Pourquoi ?

                Voici des passages du documentaire mentionné précédemment.

« L’éducation est nécessaire, le système de crédit social est le meilleur moyen de gérer efficacement une société. Avec cela on peut non seulement contrôler les risques financiers, bancaires, mais aussi rétablir l’éducation morale, l’honnêteté, les comportements vertueux. La résolution des problèmes par le crédit social, ce n’est pas l’envoi en prison quand on a enfreint les lois, c’est le regard du reste de la société qui trouve que votre attitude n’est pas bonne », explique Lin Junyue, chercheur membre de l’Académie des sciences sociales et théoricien du crédit social. Et d’ajouter : «Je pense qu’on a mis en place une bonne méthode technologique et j’espère vraiment que nous arriverons à l’exporter à un pays capitaliste. Je trouve que la France devrait vite adopter notre système de crédit social, pour régler les mouvements sociaux. Il n’y aurait jamais eu les gilets jaunes, on aurait détecté ça avant qu’ils agissent».

Selon ce chercheur, le Cambodge, le Sri Lanka, le Chili et la Pologne seraient intéressés par ce système. Progressivement, le Big Brother chinois s’exporte. La Chine développe actuellement un immense plan d’investissement de mille milliards de dollars afin de renforcer ses échanges commerciaux avec le reste du monde. Grâce à ce projet baptisé Les nouvelles routes de la soie numériques par Xi Jinping, 60 à 80 pays devraient pouvoir bénéficier des technologies de surveillance chinoise.

                                                    Et en Suisse ?

La situation a en tout cas attiré l’attention d’un avocat genevois, Maître Yacine Rezki. Il définit le crédit social comme étant « un courant de pensée juridique qui voudrait qu’on puisse ôter aux individus leur libre arbitre avec des incitations qui auraient pour but de normer les comportements humains, en impliquant par essence une surveillance de masse.» 

Selon lui, la circulation routière serait un bon point de départ. Il prend l’exemple de la boite noire sur les véhicules. La presse en a récemment parlé, les nouvelles voitures mises sur le marché dès juillet 2022 seront équipées d’un enregistreur de données d’accident, comme celui présent dans les avions. Tout y sera enregistré, l’accélération, la vitesse, le freinage, l’usage des clignotants. Pour Maître Rezki, « on pourrait tracer tous les comportements, et attribuer à chaque conducteur des récompenses ou des sanctions ».

En Suisse, est-ce que notre Constitution permettrait une telle dérive ? Pour Yacine Rezki, la réponse est oui. « On peut tout à fait imaginer qu’une loi fédérale puisse aller à l’encontre de certains principes constitutionnels. C’était une volonté du législateur de dire qu’il n’incombe pas aux juges de déterminer si une loi est contraire à la Constitution ou non, on fait confiance au parlement et au peuple qui sont les gardes fous. » 

Cela nous conduit à une situation déjà observée dans le contexte pandémique, si nous votons pour l’application de lois contraires à la Constitution, alors nous ne sommes plus ses garants, nous autorisons sa violation.

Certains affirment malgré tout que le crédit social est impossible en démocratie. Reste à savoir quelle définition nous donnons à ce mot. Pour l’avocat genevois, le crédit social n’est pas impossible en démocratie si on la réduit au fait de pouvoir voter. « Si par contre on admet que la démocratie est le droit au libre arbitre, à la souveraineté personnelle, un contre-pouvoir réel, la transparence et la possibilité de revenir en arrière sur certains processus, alors non ça n’est pas compatible ». 

                              Des dérives déjà existantes

Stéphane Werly, préposé cantonal à la protection des données du canton de Genève, voit des similitudes avec le système de récompense dans le domaine de la santé. « Depuis quelques années, sur la base du volontariat, des montres connectées sont proposées par des compagnies d’assurance maladie en échange de rabais. Le problème de ces montres c’est que les données vont sur le cloud et, potentiellement, n’importe qui pourrait voir que vous faites de la course à pied 3 fois par semaine ou au contraire que vous n’avez pas fait vos 2’000 pas par jour et que vous avez pris 2 kilos. » 

Alexis Pfefferle, avocat de formation, actif dans le domaine de la sécurité numérique, rédigeait en 2018 un article très intéressant intitulé «La montre connectée, reine des espionnes». Selon lui, le fait que vous courriez 10 km par jour n’a aucun intérêt, les obligations de l’assurance de base restent les mêmes. Ce qui a de la valeur provient du GPS. « Les métadonnées de géolocalisation en continu sont une mine insoupçonnée d’informations très personnelles. »

Questionné sur les observations de Maître Rezki, Stéphane Werly confirme certaines craintes. « C’est vrai qu’on a déjà vu une forme de crédit social avec le certificat Covid. A la différence de ce dernier, le Conseil fédéral ne pourrait pas édicter des règles de droit sous la forme d’une ordonnance pour instaurer le crédit social. Seule une loi, soumise au référendum facultatif, pourrait le permettre. Mais cela me paraît peu probable que nous arrivions à une situation comme en Chine, on est quand même dans un autre régime et, il faudrait une base légale claire. Par exemple, est-ce que ceux qui fument pourraient encore acheter des cigarettes ? Et si j’ai une dette hypothécaire importante, est-ce bon ou serais-je ostracisé? Sinon ce serait le début de l’arbitraire et, effectivement, le risque de tomber dans le système chinois. » 

Sous l’angle de la protection des données, le préposé constate une augmentation des dérives. « Malheureusement, on entend souvent les gens dire: Je n’ai rien à me reprocher, donc vous pouvez prendre toutes les données que vous voulez. Il y a une énorme augmentation des caméras partout. Néanmoins, il y a des règles à respecter, la pose de la caméra doit être justifiée, on doit notamment vous prévenir que vous êtes filmé, dans le cadre des écoles, le système de vidéosurveillance ne doit pas tourner pendant les cours. »

                                                Cheval de Troie

« D’abord, il faut la paix et la stabilité, que chacun vive bien. Et après seulement, on réfléchira aux droits de l’homme », selon le théoricien du crédit social. En Suisse, avons-nous trop longtemps vécu au sommet de la pyramide de Maslow, trop déconnectés de la réalité des besoins physiologiques pour être conscients du vent qui tourne ? Si on ne connaît que la liberté, est-on capable d’identifier à temps une restriction de nos droits ? Sommes-nous prêts à accepter toutes les technologies, nous faire offrir des chevaux de Troie ? Avec le développement du digital wallet résolu à s’imposer partout, et les autres services proposés par les licornes chinoises (en économie, désigne une startup dans les nouvelles technologies, valorisée à au moins un milliard de dollars), ne sommes-nous pas en train de franchir la ligne rouge ? N’est-ce pas le moment où les sirènes retentissent pour nous réveiller ? Si nous vivons en démocratie, il n’est pas trop tard pour stopper la machine, à moins que ça aussi, ne soit qu’une chimère de plus.

https://bonpourlatete.com/actuel/venu-de-chine-le-credit-social-se-repend-en-europe

A lire également:

https://www.wired.it/article/bologna-nuovo-piano-digitale-punti-cittadini-virtuosi/

Rappel : La liste noire de FINMA,

En 2015, il a été découvert le système de sanctions-humiliation mis en place par Finma.

les idiots très utiles de ce système, qui ?

Quand on découvre seulement aujourd’hui que l’eau ça mouille et que le feu ça brûle, on se fâche tout rouge et on casse tout.🫣🤫😉

Mais ça fait des décennies qu’ils nous manipule, contrôle, rends docile et qu’ à ce jour nos vies et l’avenir de nos enfants sont en danger
En fait, il n’y a rien de nouveau. Où est notre pays dans lequel nous vivions insouciants dans les années 70 / 80, où il faisait encore bon vivre ? En 4 ou 5 décennies, il est devenu un pays totalitaire, sous emprise des lobbies, des marchés financiers, idéologiques wokistes, idéologique des escrologistes, sous influence extérieure et dirigé par ces mêmes puissances qui ne cherchent qu’à le détruire pour effacer son passé. Où est mon pays que j’aimais, avec son histoire et ses racines profondément ancrée depuis 2000 ans ? Enfin jusqu’à cette fausse révolution qui déjà était le signe du déclin. Voyez où nous en sommes…. Notre pays commencent à être un champ de ruines sous tous les aspects… le soir de l’élection 2017 (sous dominion) la France est morte. Sauf que s’insusrger le jour J d’un 49.3 et vivre le reste du temps en occultant tout, faut pas s’étonner.
« Oui mais moi j’ai voté untel et l’autre a voté celui la » et blablabla…..Donc, il semblerait que quoi que tu votes, rien ne change… Non ? Pire, tout s’aggrave même avec ton candidat qui devait être le sauveur. Alors pourquoi tu votes encore puisque rien ne s’améliore depuis 50 ans ?
Puis ce n’est pas qu’une question de vote, c’est avant tout, je crois un état personnel.

Mon constat suite à cette élection  ( truquée et manipulée médiatiquement) , est que les français dans leur grande majorité (petits bourgeois, retraités soixante-huitards et aisés, gauchistes, « insoumis », quelques « gilets jaunes »…, musulmans…, étudiants, fonction publique, pharmaciens et médecins covidistes, policiers, etc. et j’en passe…) ont fait acte ce 24 avril 2022 (malgré ces deux années répressives et plus ..) de leur niveau de connerie, de bêtise, d’ignorance, de stupidité, de lâcheté, de soumission, de cupidité, et j’en passe…, en permettant le retour du grand Ogre et de la clique qui le dirige  et n’ont pas pris conscience de la gravité de ce vote pour la suite.

Majorité d’entre vous vous êtes encore et toujours trompé au second tour (2002, 2007, 2012, 2017, 2022) ! Les leçons du passé n’ont donc eu aucun effet, l’amnésie reste la norme… J’ai regret à vous le dire, mais désormais ce sera l’enfer qui frappera à vos portes ! La FIN de vos espérances ! Eh bien, comme le message et travail de certains alerteurs et reinformateurs n’a pas été reçu pour la plupart parmi mes contacts et plus (Pas tous, fort heureusement et je leur remercie pour leurs compréhensions et patience) mais Pour les autres (les traîtres, les collabos en tout genre…) il ne restera que ce Nouvel Ordre Mondial qui avance à grand pas grâce à vous. Mon engagement si petit par rapport à d’autre et le travail de recherche, bénévole, depuis plusieurs années, n’aura finalement servi à rien, et rien rapporté, ne serait-ce qu’avoir l’illusoire satisfaction de voir enfin le dictateur macron et ses sbires disparaître du paysage français. Que nenni ! Je m’en vais maintenant vers de nouveaux horizons, comme me préparer non pas à la tempête, mais à l’Ouragan qui s’en vient, sans chercher désormais à sauver qui que ce soit du futur dystopique qui les attend. Nous ne pouvons plus rien faire pour eux c’est peine perdue ! Vous seuls avez maintenant les clés en main… Mais j’alerte une dernière fois que le PIRE est encore à venir, puisqu’une majorité a irrémédiablement fait le mauvais choix ! Il a été choisi, directement ou indirectement LE PIRE, et ceux-ci serons tous responsables de ce qui va arriver, et nous tomber dessus, également sur la tête de vos enfants et anciens… Ce n’est plus dans la « dissidence » qu’il faudra rester, mais dans la résistance et « l’action sur le terrain » qu’il faudra entrer… Si vous, nous, ne le faisons pas, nous allons très rapidement entrer dans le monde des ténèbres, connaître ce qu’est l’enfer. Puis essayer de retrouver la lumière deviendra pour nous tous un long chemin semé d’épines, d’embuches, de souffrances et de morts… Honte et déshonneur pour les moujons et les décérébrés, les collabos et les trolls, les lâches !à tous qui font semblant de rien voir ou comprendre se qu’ il se passe de peur de perdre leur petit confort,  honte à cette ségrégation qui ne porte pas son nom se mettre en place qui  gardera les non vaccinés exclus de la vie économique et sociale pour citer que ceci… La définition claire d’une ségrégation scandaleuse et dont tout le monde se fout royalement, notamment les personnes vaccinées qui collaborent passivement à la mise en place de cette dictature inadmissible. Par lâcheté autant que par soumission est en marche …on n’oubliera pas cette épisode d’histoire de notre pays …..Nos comportements quotidiens participent pleinement à ce système esclavagiste dans lequel nous sommes encore faut-il comprendre ce qui nous rend esclaves et détenus par celui-ci.
A coup de marketing omniprésent et agressif, il nous vend du rêve inutile, des besoins fabriqués, des modes, des tendances, des black friday, des promos, des jeux, des milliers de chaîne TV, des attractions, des crédits, des remises, des stars, des sauveurs idéologiques…………………………….. !
Bref, du vent, ils ont l’art et la manière de nous vendre du vent, du futile, des « hypnotisants », mais renouvelés assez souvent pour appâter sans cesse vers ce néant.
N’est-il pas là le vrai problème ? N’est-il pas que nous sommes totalement responsables de notre dépendance à ce néant, à ce consumérisme, à ce matérialisme, à ce monde imaginaire qui fait de nous des êtres possédés et arrachés à nos origines, à notre vraie vie ?
C’est certainement à nous de cesser d’être les larbins, d’être les idiots très utiles de ce système qui n’a que faire de nos misérables conditions tant qu’ils s’engraissent.
C’est à nous de cesser de l’alimenter, à nous de désobéir, à nous de renoncer à cette bulle faussement étincelante qui sous peu va éclater.
C’est à nous, de non pas désigner qui sera leur prochain VRP via les urnes, mais de fuir cette fabrication commerciale, et toutes ces idéologies elles aussi créées de toutes pièces pour nous diviser et nous faire appartenir à des clans, des sectes.
Là est notre liberté et notre pouvoir de ne plus alimenter ce monde purement trompeur, illusoire, mensonger.
Tout leur système repose sur notre adhésion ou pas.
Nous avons les clefs. Reste à savoir qui souhaite être Libre ou non. Peut être Un coup d’épée dans l’eau mais qui sait, plus de gens se veillerons et plus il aura des actions nouvelle, seule le futur nous le dira…

Les techniques emmergentes danger pour le peuple…..

Qu’est ce qui ce cache derrière cette fameuse 4e révolution industrielle ? Et ce mystérieux Klaus…. Voici ce qu il décrit dans son ouvrage qu’il prône comme solution pour le monde mais que se cache t il derrière leurs programmes ? Je vous laisse lire ceci et faites votre propre analyse sur ce qui se passe actuellement….

On constate qu’ne castre satanique à pris le contrôle de la planète…essayez de lire dans la bible apocalypse 13 et Mathieu 24…. Je crois qu il n y a pas de solution ici bas car l homme est allé trop loin dans ces actes et positions….. Nous voyons une societe s’effondrer par ces fautes et là j y crois .
le but n est pas de l éviter mais de s y préparer à traverser une époque très difficile….

https://larealitecacheedumondeactuel.com/le-systeme-antichrist-et-la-marque-de-la-bete/

Ils nous prépare une prochaine pandemie.? .

https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=pfbid0wKVxoNRMZzT8wJ1FTsiSpU9RWpkJtcKybakM7ZFCyWXkTZ6gYwEAZsvKjwhUih9jl&id=100063240371822&sfnsn=scwspmo

La 5g va entrée en action et les enfants vont êtres touchés…. Panique générale assurée

https://odysee.com/@r%C3%A9v%C3%A9lation:2/2022-018-D%C3%A9population-mondiale-est-en-marche—V2:09

Plus D infos ici

https://larealitecacheedumondeactuel.com/

Coupures électriques des cliniques et hôpitaux. Manipulation mediatique

Ce que révèlent réellement les coupures électriques (non ciblées) des cliniques et hôpitaux. Les médias font croire que les coupures d’alimentation électrique, même très courtes, des cliniques et hôpitaux, sont des actes de terrorisme de la part des grévistes, mais cela révèle surtout que les standards et les normes que les hôpitaux et les cliniques doivent respecter pour pallier une coupure ne sont pas respectés. Et qui peut être particulièrement arriéré pour croire les médias de la sphère ploutocratique qui affirment que le personnel gréviste de la distribution électrique Enedis et GRDF cible sciemment les hôpitaux publiques et les cliniques privées pour mettre en danger la population souffrante ? Personne, bien évidemment ! Et ces mêmes structures médicales ont aussi renvoyé les personnels d’entretien non vaccinés. D’où des équipements de secours, type Groupes électrogènes, hors service car pas entretenus depuis deux ans. Accuser les grévistes de complicité de drames (morts), est absolument scandaleux. Le premier responsable est le président Macron, pour sa gestion de la pseudo épidémie et son intransigeance chargée de mépris, pour faire aboutir sa réforme des retraites !?……

À suivre….

inviter le monde à adopter un « nouvel humanisme »

article de 2017 remis à jours

Penchons nous un moment du coté spirituel Et examinons une fois de plus la condition actuelle de notre monde, qui subit des processus de conditionnements depuis plusieurs décennies. Les cœurs et les esprits des gens ont été éduqués, endoctrinés et prêts à accepter le globalisme et, par extension, un gouvernement mondial.  Depuis plusieurs années ( 20 ans ) avertissant à maintes reprises que des efforts étaient en cours pour créer un gouvernement mondial.  Dans le passé, une telle discussion a été comprise comme une « théorie de la conspiration » par une majorité de personnes, mais, pour ceux qui veulent regarder, nous pouvons voir les forces globalistes à pleine vue et ouvertement aujourd’hui.

En février 2017, des mondialistes éminents de partout dans le monde se sont réunis à Dubaï, dans les Émirats Arabes Unis, pour un événement de trois jours connu sous le nom de Sommet du Gouvernement Mondial.  Ce rassemblement a réuni des représentants de plus de 130 pays et a présenté plus de quatre-vingts discoureurs célèbres, y compris le chef de la direction de SpaceX, Elon Musk, la directrice générale du Fonds Monétaire Internationale, Christine Lagarde, et le secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies, Antonio Guterres.  Antonio Guterres, ouvertement et fièrement socialiste, a été le Premier Ministre du Portugal entre 1995 et 2002.  Au cours du sommet de Dubaï, Antonio Guterres a déclaré à son auditoire : « Améliorer la gouvernance et améliorer la confiance entre les gouvernements et les populations est essentiel, et c’est une condition pour améliorer la confiance dans les relations entre les pays.  Nous vivons aujourd’hui dans un monde qui n’est plus bipolaire, qui n’est plus unipolaire, mais, qui n’est pas encore multipolaire.  C’est vraiment chaotique. »  Plus tard, il a déclaré : « Dans un monde où tout est global, où les problèmes sont globaux, des changements climatiques aux mouvements des personnes, il n’y a aucun moyen pour les pays de les faire par eux-mêmes.  Nous avons besoin de réponses globales, et les réponses mondiales ont besoin d’institutions multilatérales capables de jouer leur rôle. »  Bien sûr, si vous lisez entre les lignes, il est évident qu’Antonio Guterres appelle à un gouvernement mondial. Dans un clin d’œil au programme 2030 de l’Organisation des Nations Unies, Antonio Guterres a également déclaré que le développement durable est nécessaire pour que la paix et la sécurité prennent racines dans notre monde.

À la suite du sommet à Dubaï, les Émirats Arabes Unis, en collaboration avec l’Organisation des Nations Unies, ont maintenant établi ce qu’ils appellent le Conseil Mondial du Bonheur.  Cette entité plutôt étrange semble déterminée à imposer sa version du bonheur dans le monde entier.  « Le bonheur est une infection louable.  Nous voulons que les peuples du monde en soient infectés afin qu’ils puissent être bénis avec la bonté.  Cela nécessitera un changement tangible dans la culture des travaux gouvernementaux », a déclaré Sheikh Mohammad bin Rashid Al Maktoum, vice-président et Premier Ministre des Émirats Arabes Unis et dirigeant de Dubaï.  Il a ajouté : « Notre initiative de lancer le Conseil Mondial du Bonheur a été dérivée de nos valeurs et notre conviction qu’il est nécessaire d’apporter le bonheur et les valeurs positives aux peuples. »  Vraiment, l’Organisation des Nations Unies est une organisation avec de nombreuses tentacules, de sorte qu’il peut être difficile de suivre toutes ses dérives.  La branche de l’Organisation des Nations Unies, connue sous le nom de Réseau de solutions de développement durable, fournit un soutien administratif au Conseil Mondial du Bonheur, qui est ensuite divisé dans les six sous-conseils suivants : Le Conseil du Bonheur et de la Santé, le Conseil du Bonheur et de l’Éducation, le Conseil du Bonheur Personnel, le Conseil du Bonheur en Milieu de Travail, le Conseil de la Mesure du Bonheur et le Conseil des Villes Heureuses.

Pour rendre les choses encore plus bizarre, une réplique d’une ancienne structure connue sous le nom d’Arche de Triomphe de Palmyre, en Syrie, a été mise en place et exposée lors du Sommet du Gouvernement Mondial de 2017.  Cette même réplique avait déjà été exposée à Londres, en Angleterre et à New York, aux États-Unis.  Pourquoi est-ce si important ?  L’Arche de Triomphe original, qui a été détruit en 2015, était connue pour être l’entrée du temple du dieu païen, Baal.  Ainsi, nous avions des dirigeants mondiaux, des mondialistes et des élitistes réunis à Dubaï sous l’ombre de l’Arche de Baal et travaillant pour créer un gouvernement mondial.  Bien sûr, nous savons par les Écritures que les anciens Israélites des temps bibliques ont apporté beaucoup de jugements de Dieu sur eux-mêmes quand ils ont adoré Baal qui, en réalité, est Satan dans un assez piètre déguisement.  Jérémie 11:17 nous dit : « L’Éternel des armées, qui t’a planté, appelle sur toi le malheur, à cause de la méchanceté de la maison d’Israël et de la maison de Juda, qui ont agi pour m’irriter, en offrant de l’encens à Baal. »

Le 21 mai 2017, l’Organisation des Nations Unies a célébré un événement connu sous le nom de « Journée mondiale de la diversité culturelle pour le dialogue et le développement ».  Selon un communiqué de presse publié par le Centre des Nouvelles de l’Organisation des Nations Unies, Irina Bokova, directrice générale de l’Organisation de l’éducation, de la science et de la culture de l’Organisation des Nations Unies, a utilisé cette journée pour inviter le monde à adopter un « nouvel humanisme ».  Ce que beaucoup de gens pourraient ne pas réaliser, c’est que l’humanisme est un mode de vie très anti-Dieu.  Le dictionnaire inédit Random House Webster définit l’humanisme comme « tout système ou mode de pensée ou d’action dans lequel prédominent les intérêts, les valeurs et la dignité humaine ».  Une autre définition stipule que l’humanisme est « une variété de théorie et de pratiques éthiques qui met l’accent sur la raison, l’enquête scientifique et l’accomplissement humain dans le monde naturel et qui rejette souvent l’importance de la croyance en Dieu ».  Ainsi, lorsque l’Organisation des Nations Unies appelle la population mondiale à embrasser l’humanisme, ils disent vraiment aux gens que la croyance en Dieu n’est pas importante.

Malheureusement, il semble que beaucoup de gens pensent aujourd’hui qu’un gouvernement mondial humaniste serait merveilleux.  Selon un rapport publié par The Independent, un récent sondage a révélé que 7 des 10 répondants du Royaume-Uni sont favorables à la création d’un gouvernement mondial, alors que 62% des répondants se considéraient comme un « citoyen mondial ». L’étude a également révélé que 67% des répondants des États-Unis, 62% des répondants de l’Allemagne, 76% des répondants de l’Afrique du Sud, 78% des répondants de la Chine et 84% des répondants de l’Inde ont approuvé la formation d’un gouvernement mondial.  On croit qu’une telle structure gouvernementale unifiée sera nécessaire pour lutter contre une multitude de menaces contre l’humanité, y compris les changements climatiques, la guerre nucléaire ( qui est un mensonge de propagande de la peur ), les pandémies de maladies et le développement d’une intelligence artificielle avancée.  « Alors que les dirigeants mondiaux se réunissent pour le Sommet du G7, ils devraient être conscients que les citoyens de la planète souhaitent qu’ils collaborent et travaillent plus fort pour trouver des solutions à ces menaces critiques contre l’humanité », a déclaré Mats Andersson, de Global Challenges Foundation, en Suède.  Il a poursuivi en disant : « Que ce soit le spectre des conflits nucléaires contre la Corée du Nord ou notre planète plongeant dans les changements climatiques catastrophiques, la nécessité d’une coopération mondiale efficace n’a jamais été aussi grande ».

Il est évident que la volonté d’établir un gouvernement mondial gagne plus d’élan que jamais, mais comment Dieu se sent-il à propos d’un gouvernement mondial ?  Dans Actes, chapitre 17, on nous dit expressément que Dieu a établi des limites dans ce monde.  Actes 17:26 nous dit que Dieu a fait du même sang toutes les nations d’hommes pour habiter sur toute la face de la terre, et a déterminé les temps avant l’assignation et les limites de leur habitation.  Nous savons aussi que, en tant qu’êtres de Dieu, on ne nous dit pas de se joindre au monde, mais, plutôt de s’en séparer.  II Corinthiens 6:17-18 nous dit : « C’est pourquoi, sortez du milieu d’eux, et séparez-vous, dit le  Seigneur ; Ne touchez pas à ce qui est impur, et je vous accueillerai.  Je serai pour vous un père, et vous serez pour moi des fils et des filles, dit le Seigneur tout-puissant.»

Quand le Fils de l’homme reviendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ?

À chaque année qui passe, nous trouvons plus de recherches publiées concernant la croissance de l’athéisme aux États-Unis.  Bien que ce pays ait longtemps été considéré comme une nation chrétienne, et le président américain Donald Trump a déclaré que « l’Amérique est une nation de croyants ». je voudrais bien le crois mais les nouvelles indiquent que les États-Unis ne sont pas aussi chrétiens que les gens semblent le penser.  Une telle histoire a été publiée en mai 2017 par une société de recherche connue sous le nom de FiveThirtyEight.  Le titre de leurs articles stipule : « Beaucoup d’Américains peuvent être plus athées que nous le pensons ».  Pour atteindre cette conclusion, les chercheurs ont demandé aux participants dans leurs études de sélectionner les énoncés applicables à propos d’eux-mêmes à partir d’une liste.  Cette liste comprenait des déclarations inoffensives telles que, « Je possède un chien », mais, incluait également la déclaration, « Je ne crois pas en Dieu ».  Sur la base des réponses sélectionnées, les chercheurs estiment que jusqu’à 26 pour cent de tous les Américains peuvent être athées.

Une autre histoire publiée en mai 2017 par Newsweek Magazine a fait valoir que les athées sont plus intelligents que les adhérents religieux.  Le rapport cite Edward Dutton de l’Institut Ulster du Royaume-Uni et Dimitri Van der Linden de l’Université de Rotterdam, aux Pays-Bas, qui croient tous deux que les athées sont plus intelligents que les croyants parce qu’ils sont capables de s’élever « au-dessus de l’instinct naturel de croire en Un Dieu ou des dieux »« Si vous avez une intelligence supérieure, vous êtes moins instinctif.  Vous êtes plus bas dans ce que vous pourriez appeler des « instincts évolués » qui ont évolué pendant des milliers et des milliers d’années jusqu’à la révolution industrielle lorsque la sélection naturelle a ralenti », a déclaré Edward Dutton.  Je ne peux m’empêcher de me demander si ces scientifiques n’ont jamais envisagé la possibilité que la raison pour laquelle l’humanité a un instinct naturel de croire en Dieu c’est parce que Dieu a mis cet instinct en nous.  En tout cas, le fait que cet instinct existe démontre qu’il existe effectivement un Dieu.  Les paroles de l’apôtre Paul que nous trouvons dans Romains 1:22 semblent particulièrement pertinentes.  Dans ce verset, nous lisons : « Se vantant d’être sages, ils sont devenus fous. »

Nous voyons donc que l’Organisation des Nations Unies veut un gouvernement mondial humaniste et un nombre croissant de personnes adoptent l’athéisme et l’agnosticisme.  Beaucoup de jeunes, en particulier ceux qui appartiennent à la génération du Millénaire, sont hostiles aux croyances chrétiennes.  Selon le Pew Research Center, plus de 60 pour cent des Millénaires qui ont été étudiés disent que le Christianisme est trop «jugemental », alors que 64 pour cent se plaignaient que le Christianisme était trop « anti-gays ».  On ne peut que se demander ce que seront les générations futures, s’il en existe.

En réalité, il n’y a rien de surprenant avec la dégénérescence actuelle de la foi. En fait, Jésus semble reconnaître qu’il y aurait une grande perte de la foi en Dieu avant son retour.  Dans Luc 18:8, Jésus se demande : « Je vous le dis, il leur fera promptement justice.  Mais, quand le Fils de l’homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la terre ? »  L’apôtre Paul nous prévient également dans I Timothée 4:1 : « Mais l’Esprit dit expressément que, dans les derniers temps, quelques-uns abandonneront la foi, pour s’attacher à des esprit séducteurs et à des doctrines de démons. »

La famine et la peste dans notre monde d’aujourd’hui

Quand nous ouvrons la Bible et que nous lisons Matthieu 24, Marc 13 ou Luc 21, nous sommes confrontés aux paroles de notre Seigneur et Sauveur, Jésus-Christ, qui nous prévient d’un temps venant sur la terre où nous serons confrontés à de nombreuses calamités.  Ces calamités comprennent la famine et la peste.  Je trouve incroyable que, dans notre monde d’aujourd’hui, de vastes segments de la population sur la terre soient confrontés à la famine et à la peste.( épidémies, empilements, etc.)

Le mot « famine » aujourd’hui n’est officiellement utilisé que pour les crises alimentaires les plus sévères, alors nous savons que c’est un terme qui n’est pas utilisé à la légère.  Selon les règles officielles, pour qu’une crise alimentaire soit considérée comme une famine, au moins un ménage sur cinq doit avoir un « extrême manque de nourriture » avec une population qui souffre d’une mortalité significative.  Aujourd’hui, quatre pays d’Afrique et du Moyen-Orient sont au bord de la famine.  Ce sont le Yémen, le Nigéria, la Somalie et le Soudan du Sud.  La crise alimentaire au Nigeria a été attribuée aux ravages du groupe terroriste islamiste connu sous le nom de Boko Haram.  Au Sud-Soudan, la pénurie alimentaire a été causée par des luttes intestines entre les rebelles et le gouvernement établi, un conflit qui a obligé plus de trois millions de personnes à fuir le pays.  En Somalie, environ 6,2 millions de personnes, soit près de la moitié de la population du pays, font face à une pénurie alimentaire causée par la sécheresse.

Pour beaucoup de personnes, en Somalie, le cauchemar ne semble que s’aggraver.  En mai 2017, près de 160.000 Somaliens ont fui vers la ville de Baidoa, en Somalie, à partir des régions sinistrées de leur pays.  Cependant, le surpeuplement dans les camps de secours a entraîné une épidémie de choléra qui a touché plus de 20.000 personnes.

Dans l’intervalle, une épidémie de choléra au Yémen a tué 315 personnes depuis le 27 avril 2017, alors qu’elle affecte environ 29.300 personnes.  Les responsables de la santé s’attendent à ce que la crise s’aggrave.  « Nous devons nous attendre à quelque chose qui pourrait dépasser 200.000 à 250 000 cas au cours des six prochains mois, en plus des 50.000 cas qui se sont déjà produits », a déclaré Nevio Zagaria de l’Organisation Mondiale de la Santé. Nevio Zagaria a poursuivi en disant : « Je dois admettre que lorsque je vois les données que j’ai vues ce matin, qui ne sont pas officiellement publiées, nous sommes vraiment surpris.  La vitesse de la résurgence de l’épidémie de choléra est sans précédent ».

Il semble également que le virus Ebola soit de retour.  43 cas suspects d’infection au Ebola en République Démocratique du Congo et quatre décès signalés.  Espérons que cette épidémie sera rapidement contenue.  L’épidémie bien connue d’Ebola, qui a frappé l’Afrique de l’Ouest en 2013 et a continué pendant plusieurs mois, a entraîné la mort de plus de 11 ;000 personnes.  Cette dernière épidémie, bien que petite, est un rappel déplaisant que l’Ebola est toujours là.

Guerre dans un monde connecté

Quand on pense à la guerre, il ne fait aucun doute que certaines images viennent à l’esprit.  La guerre est souvent associée à des soldats, des missiles balistiques, des navires, des avions et des armements sophistiqués.  Cependant, il existe un nouveau type de guerre qui a mis pleinement en jeu tout le monde, et cela ne comporte aucune des méthodes habituelles de guerre conventionnelle.  Plutôt, c’est une bataille qui se dispute sur internet et par des réseaux informatiques.

Le 12 mai 2017, une cyberattaque majeure a été lancée contre le monde.  Cette attaque a utilisé un type de codage informatique malveillant communément connu sous le nom de ransomware pour chiffrer des fichiers sur des systèmes informatiques exécutant des anciennes versions de Microsoft Windows.  Une boîte de dialogue est apparue sur les écrans d’ordinateur des utilisateurs et les a informés que leurs fichiers ont été cryptés et sont inaccessibles.  Les utilisateurs ont également été informés que les fichiers pourraient être débloqués contre le paiement d’une rançon de trois cents dollars, mais que le paiement augmenterait de façon constante si l’utilisateur prenait plus de temps pour payer.  D’ici le 14 mai 2017, le logiciel malveillant, connu sous le nom de « WannaCry », a affecté 200.000 personnes, 10.000 organisations et plus de 150 pays.  L’attaque a paralysé plusieurs entités, y compris les grandes entreprises et les organismes gouvernementaux, comme la société espagnole de télécommunications connue sous le nom de Telefonica, la compagnie maritime américaine appelée Fedex, le chemin de fer national allemand Deutsche Bahn, la banque centrale de Russie, l’entreprise automobile connue sous le nom de Renault, en France, et le National Health Service de la Grande-Bretagne.  À la suite de l’attaque, de nombreux hôpitaux en Grande-Bretagne n’ont pas pu accéder à leurs téléphones ou systèmes informatiques et ont été obligés de reporter les procédures médicales programmées.  « Pour qu’autant d’organisations dans le même jour soient frappées, cela n’a pas de précédent » a déclaré Chris Wysopal de la société de sécurité informatique connue sous le nom de Veracode.  Mikko Hypponen, de la société de cybersécurité, connue sous le nom de F-Secure, a déclaré que l’attaque était « la plus grande attaque de ransomware dans l’histoire ».

De toute évidence, toute cyberattaque qui peut fermer les hôpitaux est une menace sérieuse.  Alors, comment cela pourrait-il se produire ?  Il s’avère que le code malicieux utilisé dans l’attaque a effectivement été conçu par l’Agence nationale de sécurité (NSA) des États-Unis.  Le code a ensuite été volé de la NSA et utilisé par des individus entreprenants du monde criminel.  Brad Smith, qui est président de Microsoft Corporation, a été clairement perturbé par les actions de la NSA.  « À plusieurs reprises, les exploits entre les mains des gouvernements se sont répandus dans le domaine public et ont causé de vastes dégâts.  Un scénario équivalent avec des armes classiques serait l’armée américaine dont certains de ses missiles Tomahawk ont été  volés », a déclaré Smith.  Il a ensuite écrit : « Les gouvernements du monde devraient traiter cette attaque comme un réveil.  Ils doivent adopter une approche différente et adhérer dans le cyberespace aux mêmes règles appliquées aux armes dans le monde physique ».  Au lendemain de l’attaque, des rapports ont éclaté qui placent le blâme sur des pirates informatiques en Corée du Nord.  Cependant, une histoire publiée par le Chicago Tribune prétend que les pirates russes étaient probablement responsables.

La dépendance de l’humanité à la technologie a exposé le monde à une série de menaces.  Alors que, à cette occasion, les pirates ne cherchaient qu’à collecter de l’argent, cela pourrait être très différent la prochaine fois.  Une attaque similaire pourrait éteindre les réseaux électriques, les systèmes de contrôle de la circulation aérienne, les services d’eaux, les feux de signalisation, les institutions financières et tout ce qui est connecté à internet.  En outre, le fait que la NSA puisse perdre la trace de son propre code malveillant n’inspire pas la confiance de nos dirigeants gouvernementaux.  En ce qui concerne la menace de la cyber-guerre, le sénateur John McCain, un républicain d’Arizona, a déclaré : « Notre pays reste mal préparé pour s’attaquer à ces menaces ».  Le gouvernement en Australie est également concerné.  En fait, selon un article publié par The Australian, les participants à la direction d’une retraite australienne ont été informés que la cyberguerre sera bientôt une menace plus grande pour le monde que la guerre nucléaire.

Grande instabilité dans le gouvernement américain

Les événements dans le gouvernement peuvent parfois être vraiment étranges. Le 28 octobre 2016, l’ancien directeur du FBI, James Comey, a annoncé une nouvelle enquête sur le traitement des informations classifiées par l’ancienne Secrétaire d’État et candidate à la présidentielle américaine, Hillary Clinton. L’élection américaine, qui devait avoir lieu le 8 novembre 2016, était à quelques jours seulement.  L’indignation s’est produite avec de nombreux libéraux et démocrates affirmant que Comey devrait être renvoyé de son poste au FBI parce qu’il a mis en danger la victoire d’Hillary Clinton.  Bien sûr, nous savons tous que, le jour des élections, Hillary Clinton a effectivement perdu aux mains de Donald Trump, et qu’Hillary Clinton a mis le blâme pour sa défaite directement sur les épaules de James Comey.  « Ce n’était pas une campagne parfaite, il n’y a rien de tel, mais, j’étais en route pour gagner jusqu’à ce que quelque chose se passe.  Si l’élection avait été le 27 octobre, je serais votre présidente », a déclaré Hillary Clinton, le 2 mai. 2017.  Curieusement, lorsque le président Donald Trump a congédié James Comey, le 9 mai 2017, les démocrates ont été scandalisés à nouveau, ce qui suggère que Donald Trump doit être malhonnête pour avoir licencié l’homme qui l’aurait aidé à gagner l’élection. Pendant ce temps, nous avons continué à entendre des allégations selon lesquelles Donald Trump était en collusion avec la Russie pour publier des courriels secrets du Parti Démocrate et qu’il a donné des informations classifiées au gouvernement russe.  Ces revendications peuvent-elles finalement conduire à une mise en accusation de Donald Trump ?

Le 17 mai 2017, le représentant Al Green, un démocrate du Texas, a appelé à la mise en accusation de Donald Trump sur le sol de la Chambre des Représentants à Washington.  « C’est une position de conscience pour moi.  C’est ce que je crois.  Et, c’est là que je me dresse.  Je ne serai pas ému.  Le président doit être mis en accusation », a demandé Green.  Le représentant Maxine Waters, un démocrate de Californie, a également donné un indice sur une mise en accusation du président.  « Je ne sais pas ce qui se passera après aujourd’hui, lorsque toutes les questions auront été soulevées à propos de lui … mais, je pense que cela nous permettra de parcourir un peu plus loin ce que j’ai demandé depuis si longtemps, et c’est une mise en accusation », a déclaré Waters.  De plus, le représentant Justin Amash, un républicain du Michigan, a également suggéré que l’accusation pourrait être appropriée.  Pour susciter les flammes des spéculations, Politico a publié un rapport d’information le 17 mai 2017, avec un titre qui déclare : « Les conservateurs commencent à murmurer : Le président Pence ».  Néanmoins, il est très peu probable que Donald Trump soit mis en accusation en tant que président des États-Unis.  Cela nécessiterait que 218 membres de la Chambre des Représentants votent en faveur d’une mise en accusation.  Quoi qu’il en soit, les États-Unis d’Amérique sont sur une course cahoteuse pour les prochains mois.

En terminant, nous vivons vraiment dans un monde de grandes turbulences.  Le 21 mai 2017, le peuple du Venezuela est entré dans la cinquantième journée consécutive de manifestations et d’émeutes alors que 200.000 personnes marchaient dans les rues contre le régime socialiste du président Nicolas Maduro.  Au moins 47 personnes sont mortes dans ces émeutes au cours de sept semaines, et il y a de grandes violences, conflits et misères dans le pays.  Les prix au Venezuela devraient augmenter de 720 pour cent cette année.  En Angleterre, les gens sont en train de se relever d’un attentat-suicide qui a eu lieu le 22 mai 2017, après un concert au Manchester Arena, à Manchester.  L’attaque, qui a été attribuée à un musulman britannique de 22 ans, a tué 22 personnes et a blessé 59 autres personnes.

Oui, il y a de nombreuses difficultés dans cette vie.  Les nouvelles que nous lisons souvent sont certainement difficiles à supporter.  Cependant, je sais que Dieu renforce son peuple.  Dans le Psaume 31:24, on nous dit : « Aimez l’Éternel, vous qui avez de la piété !  L’Éternel garde les fidèles, et il punit sévèrement les orgueilleux. »  J’encourage tous les lecteurs de ce bulletin à rejoindre Dieu et, si vous ne vous êtes pas encore repenti de vos péchés et que vous n’avez pas encore consacré votre vie à Dieu, je vous exhorte à le faire maintenant.

Que la grâce et la paix soient sur vous au nom du Seigneur Jésus-Christ. †

Prêt pour la retraite à 71 ans ?

Je l’espère pour vous, parce qu’elle n’a pas fini d’être repoussée !  Une réforme dictée par Bruxelles :  

La Commission européenne assure ne pas imposer à la France cette réforme par la contrainte. Elle se contente “d’encourager” la France à la réformer afin de la rendre “plus équitable et assurer sa viabilité”, Mais dans un article publié le 27 avril 2021, Public Sénat revient sur un échange entre l’actuel ministre du Travail et le Sénat. Un document de 700 pages est évoqué devant le Parlement pour définir le Plan national de relance et de résilience. Il est question de l’utilisation des 40 milliards versés progressivement par l’UE pour la relance économique. Avec en filigrane, comme le décrit Public Sénat : 

La nécessité que l’UE puisse donner son accord et vérifier que le projet coïncide bien avec la stratégie européenne et ses attentes en matière de réformes structurelles.

Bien plus efficace qu’un “encouragement”.  Mais ce n’est qu’un début :  Les pays européens se sont fortement endettés depuis ces 2 dernières années, Et le but de la manœuvre est de mettre tous les pays au même âge de départ à la retraite en s’alignant sur ceux qui partent le plus tard. Pourtant, il nous avait assuré ne toucher à rien :  Nous le savons, notre monarque est passé maître dans l’art de retourner sa veste, Il s’était lui-même prononcé contre cette mesure en 2017, Qui d’ailleurs figurait en toutes lettres dans son programme présidentiel

Je cite : 

La réforme des retraites ne concernera ni l’âge de départ ni le niveau des pensions,

 Je souhaite instaurer progressivement un système universel de retraite avec des règles communes.

Le fait de changer d’activité ou de secteur sera sans effet sur les droits à la retraite.

Avec un principe d’égalité : pour chaque euro cotisé, le même droit à pension pour tous.

Sauf que ce qu’il a oublié de nous dire, c’est que ce n’est pas lui qui décide ! Pas plus que le peuple, d’ailleurs ! Je comprends tout à fait la colère des manifestants qui voient leurs années de travail s’allonger encore un peu plus, Mais aller crier son mécontentement devant Élysée ou bloquer le pays comme l’ont fait les Gilets Jaunes n’aura que peu de débouchés, Car c’est Bruxelles qui décide si la France doit obéir aux nouvelles directives de l’Europe ou pas. Notre petit roitelet n’a pas son mot à dire, pas plus que le peuple français, malheureusement. Si vous n’êtes pas prêt à travailler jusqu’à 65 ans… voir 70 ans comme nos amis portugais, Car s’ils continuent comme ça, En 2029, l’âge de la retraite sera repoussé à 68 ans, Et en 2034, c’est-à-dire dans seulement 12 ans, Il faudra que vous travailliez jusqu’à 71 ans ! Aurez-vous pris votre retraite avant cette date ?…….

INTERDICTION DE L’OBLIGATION VACCINALE PAR LA COUR EUROPÉENNE DES DROITS DE L’HOMME ! C’EST UN ARTICLE DE 2021 

LA DÉCLARATION DES DROITS DE L’HOMME ET DU CITOYEN DE 1793 ÉNONCE EN SON ARTICLE 35 : «QUAND LE GOUVERNEMENT VIOLE LES DROITS DU PEUPLE, L’INSURRECTION EST, POUR LE PEUPLE ET POUR CHAQUE PORTION DU PEUPLE, LE PLUS SACRÉ DES DROITS ET LE PLUS INDISPENSABLE DES DEVOIRS».

La Cour européenne des droits de l’homme a décidé le 27.01.2021 dans sa résolution 2361/2021, entre autres, que personne ne devait être vacciné contre sa volonté ni sous la pression. Les 47 États membres sont par conséquent invités à signaler avant la vaccination que celle-ci n’est pas obligatoire et que les personnes non vaccinées ne doivent pas subir de discrimination.

La discrimination est également expressément interdite en cas de risques sanitaires existants ou si une personne ne souhaite pas être vaccinée. Les fabricants de vaccins sont tenus de publier toutes les informations sur la sécurité des vaccins. Avec cette résolution, la plus importante organisation de défense des droits de l’homme en Europe a désormais établi des normes et des obligations, ainsi que créé des lignes directrices en vertu du droit international, qui doivent être appliquées par les 47 États membres, y compris l’UE en tant qu’organisation. Les discriminations, par exemple sur le lieu de travail ou les interdictions de voyager pour les personnes non vaccinées, sont donc légalement exclues.

Le président Macron qui instaure et impose une obligation vaccinale et met en place un pass sanitaire liberticide contrevient aux recommandations et aux résolutions de la cour européenne des droits de l’homme qui ont pourtant valeur d’obligation ! Vous pouvez prendre connaissance de cette résolution sur le lien ci-dessous :

https://pace.coe.int/fr/files/29004/html

ci-dessous les articles qui interdisent l’obligation vaccinale, les pressions, les mesures de coercition et de rétorsion telles que les privations de libertés individuelles inaliénables instaurées par Macron, rendant impossible toute vie dans la dignité pour ceux qui ne veulent pas se soumettre à une vaccination dont on ignore les effets délétères à plus ou moins long terme : privation de travail donc de ressources pour assurer sa subsistance, de loisirs et de culture, interdiction d’aller et venir en toute liberté et sans restriction aucune…

7.3    pour ce qui est de garantir un niveau élevé d’acceptation des vaccins :

7.3.1   de  s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement

7.3.2    de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner

7.5.2   d’utiliser  les certificats de vaccination uniquement dans le but désigné de surveiller l’efficacité du vaccin, les effets secondaires potentiels et les effets indésirables

La volonté d’Emmanuel Macron  de s’affranchir des lois qui protègent et garantissent la jouissance des droits humains et des libertés individuelles est un immense abus de pouvoir qui crée un apartheid sanitaire et social que le peuple de  France ne doit pas accepter !  Chaque citoyen est propriétaire de son corps physique et mental et doit rester souverain dans la gestion de sa santé.

De même qu’un réfractaire à la vaccination n’a pas à empêcher un concitoyen de se faire vacciner s’il le souhaite, un vacciné n’a pas à obliger un compatriote à subir le vaccin contre son gré, ni à le couvrir de noms d’oiseaux et de qualificatifs excessifs parce qu’il refuse de s’y soumettre en son âme et conscience !  La liberté de conscience doit être respectée et les obligations deviennent des abus de pouvoir et d’intolérance !……

Vous êtes beaucoup plus susceptible de mourir des « vaccins » covid que du covid lui-même

Ils n’en avaient apparemment pas l’intention, mais des responsables gouvernementaux du Royaume-Uni ont accidentellement admis que le risque de décès lié à la “vaccination” contre le coronavirus de Wuhan (Covid-19) est bien plus élevé que le risque de mourir du “covid” lui-même.

https://expose-news.com/2023/03/01/covid-vaccination-8x-deadlier-than-disease/

Les données montrent que huit fois plus de personnes sont mortes des injections mortelles au cours de la période de six mois qui a suivi le lancement de l’opération Warp Speed que du “covid” au cours des 18 mois qui ont débuté en mars 2020.

Maintenant qu’ils sont pris la main dans le sac, il est tout à fait clair que les vaccins contre la grippe de Fauci n’auraient jamais dû être autorisés à rester sur le marché. Si les responsables gouvernementaux avaient été honnêtes dès le début, des milliers, voire des millions de vies auraient pu être sauvées.

Mais dire la vérité aurait réduit les bénéfices considérables de Big Pharma – et nous ne pouvons tout simplement pas accepter cela. L’argent est la seule chose qui compte pour les multinationales pharmaceutiques qui se servent de ces décès pour éliminer les masses. (Voir aussi : La raison pour laquelle ils ne pratiquent pas d’autopsies sur les cadavres de post-jab est qu’ils savent que cela exposerait l’arnaque du “vaccin”).

Presque tout ce qu’on nous a dit sur le COVID était un mensonge.

Les données montrent également que les responsables gouvernementaux ont menti au sujet des décès dus au covid. La grande majorité de ces décès étaient en fait causés par d’autres maladies, comme la démence, les maladies rénales chroniques, les maladies pulmonaires chroniques, les maladies neurologiques chroniques et les maladies cardiaques, mais au lieu de cela, ils ont accusé le “covid”.

Cela a encore faussé les chiffres, du moins au début, en suggérant que le “covid” est la véritable menace et que les “vaccins” contribuent à minimiser cette menace. En réalité, c’est le contraire qui est vrai :

le “covid” n’est pas une menace, mais les vaccins le sont certainement.

“Si l’on considère que le dépistage était obligatoire dans les hôpitaux, bien que cela ne soit pas inscrit dans la loi, et qu’ils ont utilisé le test PCR, connu pour produire des faux positifs, il n’est pas difficile de voir comment le gouvernement a réussi à mélanger des dizaines de milliers de personnes qui sont en fait mortes d’autres causes dans les statistiques de décès liées au Covid-19”, a rapporté The Exposé à propos de cette falsification des chiffres.

Il a fallu beaucoup d’enquêtes, y compris de nombreuses demandes de liberté d’information, pour faire la lumière sur cette tromperie. Il a également fallu une analyse et une évaluation indépendantes des données pour parvenir à une conclusion précise sur la véritable cause première des décès dans toute cette escroquerie : les “vaccins”.

Le dernier ensemble de données publié le 21 février 2023 confirme que les vaccins augmentent massivement le risque de décès d’une personne – de 276 %, en fait. Les taux de mortalité des personnes non vaccinées, quant à eux, sont les plus bas de tous les groupes démographiques.

“À mon avis, maintenant que nous connaissons les conséquences de tous les vaccins non testés et non éprouvés, si une personne ayant reçu une formation médicale essaie de me piquer avec une aiguille, elle aura accidentellement le cou brisé”,

a écrit un commentateur furieux en réponse à la nouvelle.

“Ce n’est rien de plus qu’un meurtre intentionnel commandité par l’État que d’appliquer à nouveau quelque chose comme ces vaxx COVID, et les vaccinés pour moi sont trop stupides pour croire d’une manière ou d’une autre que les vaxx et les rappels vont les sauver. C’est aussi pourquoi je ne devrais pas avoir à payer quoi que ce soit pour cela ! Les vaccinés se sont injectés eux-mêmes en toute connaissance de cause et devraient payer pour leurs propres soins de santé à l’avenir.”

Un autre commentateur s’est inquiété du fait que peut-être les “chemtrails”, produits lors des opérations de pulvérisation de la géo-ingénierie, sont chargés de covid ou d’un autre produit chimique toxique conçu pour rendre malade quiconque les respire.

“Dans le Yorkshire, au Royaume-Uni, nous sommes régulièrement victimes de chemtrails”, écrit cette personne. “Il devrait y avoir un abattage de tous les députés inutiles.”

Les dernières nouvelles sur les injections de covid sont disponibles à l’adresse suivante Traduit avec http://www.DeepL.com/Translator (version gratuite) ChemicalViolence.com.

mensonges sur l uranium et la bombe atomique

Faites très attention à tous ces alerteurs, politiciens ect qui vous parlent de menace nucléaire, tous tombent dans le piège, pour comprendre ce que je dis ici visionnez cette vidéo vous comprendrez.

https://odysee.com/@r%C3%A9v%C3%A9lation:2/mensonges-sur-l-uranium-et-la-bombe-atomique:6

En ce qui concerne donc pour la bombe Hiroshima de 1946 vous comprendrez qu il y a eu une force de frappe aérienne par bombardier.. Comme Berlin.

Si on vous parle D effet de la radioactivité sur les personnes sachez que la peur et le mensonge a été médiatisé et le peuple touché on acceptè le sois disant traitement sur ce qu il n a pas eu en effet radioactif ( mensonge par test positif ou autre) et c est ce ou ces traitements qui ont rendue malade et tué.

Dans les sois disantes explosions nucléaire il y a beaucoup de substance pas encore révélée à ce jours…… ( pour brûlures, intoxication. Ect)