Les effets secondaire ne peuvent plus être cachés à l’ infini sur la scène médiatique

Ceci n’est qu’un échantillon d’ infos :

Une recherche dans la base du VAERS révèle que 83 % des cas de SLA enregistrés depuis 1990, tous vaccins confondus, sont associés aux vaccins COVID, et plus particulièrement au vaccin Pfizer (3 cas sur 4).*

Plusieurs cas de sclérose latérale amyotrophique (SLA, maladie de Charcot ou maladie du motoneurone) ont été relatés depuis la campagne de vaccination contre le COVID-19. Celui de Melene Gevremont (37 ans) avait bouleversé l’Australie, tout comme celui de la top model slovaque Katarina Pavelek, qui a choisi de s’exiler en Suisse pour bénéficier d’un suicide assisté.

Le dernier en date est celui du comédien américain Eric Dane, dont l’annonce de la maladie a fait le tour du monde.

Le lien avec la vaccination n’est pas évoqué dans les médias, mais il a révélé sur son compte X qu’il avait été vacciné contre le COVID en avril 2021 avec le vaccin Johnson et Johnson (J & J), ce qui renforce l’hypothèse d’un possible lien entre les vaccins géniques et la SLA, une maladie neurodégénérative rare (2,7 nouveaux cas pour 100 000 habitants en France) et incurable, à évolution rapide, et dont le pronostic est particulièrement sombre (espérance de vie de 3-4 ans après l’apparition des premiers symptômes).

L’article de France Bleu censuré quelques heures après un tweet adressé à Olivier Véran

Un des cas relatés en France est celui de Mélanie Maupas, dont les premiers symptômes (fasciculations) sont apparus deux jours après la deuxième dose de vaccin Pfizer.

Le lien d’imputabilité entre sa SLA, diagnostiquée 15 mois plus tard, a été formellement confirmé par le centre régional de pharmacovigilance (CRPV), qui n’a mis en évidence aucune autre cause, notamment génétique, pour expliquer le déclenchement de la maladie, ce qui, selon les règles de la pharmacovigilance suffit à établir un tel lien.

Fin décembre 2024, France Bleu Pays d’Auvergne a publié un article mentionnant la reconnaissance du lien entre le SLA de Mélanie Maupas et sa vaccination COVID 19.

Quelques heures plus tard, France Bleu a supprimé l’article suivi le lendemain de la publication d’un communiqué affirmant que

« La responsabilité du vaccin dans l’apparition de la maladie de la patiente n’a, à ce jour, pas été reconnue ».

Entre-temps, le Dr Amine Umlil, responsable de la pharmacovigilance à l’hôpital de Cholet, qui a été révoqué de ses fonctions après avoir témoigné dans le cadre de l’enquête parlementaire sur les effets indésirables des vaccins anti-COVID[1], avait adressé un tweet à Olivier Véran mentionnant l’article de France Bleu.

Dans son communiqué, le média réfute avoir fait l’objet de pressions, mais il est permis d’en douter.

* Nous avons consulté le site Medalerts, qui permet d’effectuer des recherches ciblées dans le VAERS.

Ainsi, la base recense 371 cas de SLA (dont 2 formes congénitales et 3 formes familiales), tous vaccins confondus, depuis sa création.

Parmi ces 371 cas, 309 (83 %) ont été associés à un vaccin COVID (2 formes génétiques et 2 formes familiales), dont 13 % avant 50 ans.

Sur ces 309 cas, 213 ont été signalés après une injection Pfizer (69 %)

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