Aucun hasard n’explique le cataclysme qui frappe l’humanité. Les évènements convergent vers la mise de l’humanité sous dépendance sévère, notamment en matière de produits de première nécessité.
Une guerre directe et indirecte est livrée à ce qui concerne, de bout en bout, le flux d’activités dédié à l’agriculture. Et tout le monde devrait y être attentif car le sujet concerne la survie des populations. plusieurs informations vont vous être livrées ici et vous déciderez de la conclusion.
La Russie est le plus gros producteur de blé
Vous vous inquiétez des risques de pénurie d’hydrocarbures et vous avez raison. En Allemagne on prépare les esprits à ce qui s’en vient. On produit même des clips publicitaires montrant une personne âgée qui attend des invités mais qui a en même temps froid. Finalement, tout le petit monde va s’installer avec des couvertures sur les jambes. Didactique.
Toutefois, le boycott russe cache autre chose. Regardez qui est le premier producteur de blé européen. La Russie suivie de la France. En 3ème position arrive loin derrière l’Allemagne. Le boycott de la Russie signifie qu’on pénalise non seulement l’économie et les activités par manque d’hydrocarbures, mais aussi par réduction de la matière première de base de la population: le blé
Cela signifie que les causes qui mènent aux pénuries d’hydrocarbures russes mèneront à une pénurie de blé. Cela revient à ôter le pain de la bouche des pauvres. Le sujet est donc vital à moins que l’on soit d’accord de fermer les yeux sur le sort des « inutiles », version Laurent Alexandre et son alter ego israélien Yuval Harari.
Alors que le prix du blé explose pour le consommateur de base créant une hyperinflation, regardez ce qui se passe simultanément. Les exportations russes chutent et les prix baissent mais ne profitent pas aux populations! C’est donc une hyperinflation organisée
Il n’y a pas d’hyperinflation au sens où nous l’entendons habituellement parce que la vitesse de circulation de la masse monétaire flirte avec le zéro! On a beau augmenter la masse monétaire, si la vitesse de circulation de la monnaie est proche de zéro, il ne devrait pas y avoir hyperinflation.
Et ce malgré l’accroissement de création de monnaie grâce aux dettes dues au Covid. Car voici les bénéficiaires de ces nouvelles montagnes de dettes:
C’est vers les tenants des marchés de la haute finance ( vaccins) que l’argent nouvellement créé afflue.
Alors pourquoi cette hyperinflation soudaine? La pénurie organisée.
Parce que l’on réduit artificiellement la disponibilité des produits sur le marché. La chose est d’autant plus facile que le marché est devenu oligarchique grâce au soutien des banquiers centraux et des dirigeants politiques. Les prix ne sont pas un résultat sain de l’offre et de la demande. Les gagnants du Nouveau Monde fixe les prix comme ils veulent.
Voici ce qui était écrit déjà en 2019 dans Coup d’Etat planétaire:
Les subventions monétaires directes ou indirectes sont hélas méconnues du public.Elles sont les principales sources qui alimentent le marché de manière antilibérale. Fournies par les banques centrales, elles sont donc illisibles par le commun des mortels. La politique monétaire dite non conventionnelle, appelée QE, ainsi que les taux d’intérêts négatifs constituent une irrigation de ce marché financier global qui n’en finit pas de dévorer les finances des Etats et des populations locales.
Les intérêts négatifs, imposés par certaines banques centrales telles que la BNS (-0,75%), constituent un puissant vecteur qui fausse la libre-concurrence, puisque tous les débiteurs ne sont pas logés à la même enseigne. Plus on descend dans les cotations des entreprises, et plus le coût du crédit augmente, jusqu’à arriver aux petits agents économiques locaux qui peinent à obtenir des crédits, malgré un carnet de commande garnis. Des conditions inégales de financement qui pénalisent les coûts de revient des producteurs non financiarisés.
Alors, libéralisme ou soviétisme ?Les Etats qui privilégient les gros agents économiques, pratiquent le favoritisme. Sommes-nous plutôt confrontés à un détournement de fonds publics, puisque les attributions d’aides et subsides se font sans le consentement des véritables propriétaires qu’est le public-contribuable et en violation du principe d’économie de marché consigné dans de multiples textes de lois ? Baignons-nous dans un système politique antiéconomique jouant contre l’économie réelle locale et la survie des populations ? … Rien ne nous empêche d’imaginer l’avènement de restrictions et de pénuries qui frappent aussi bien les biens de première nécessité, que les produits de consommation, sans oublier le monde de l’emploi….
Maurice Allais: éminent économiste et prix Nobel. « (…) Mais c’est là oublier que l’économie de marché n’est qu’un instrument et qu’elle ne saurait être dissociée de son contexte institutionnel et politique et éthique. Il ne saurait être d’économie de marché efficace si elle ne prend pas place dans un cadre institutionnel et politique approprié, et une société libérale n’est pas et ne saurait être une société anarchique. » Un homme de gauche relevait d’ailleurs avec ironie qu’il était surprenant que les autorités nationales fassent appel à des mécanismes socialistes, pour ne pas dire communistes, pour enrichir une minorité. La méthode pratiquée n’est ni capitaliste, ni libérale, ni communiste. Il s’agit d’une espèce de privatisation du soviétisme, un néo-soviétisme. Celui-ci serait le fruit de l’agencement d’une myriade d’organismes autonomes, car dotés de structure juridique, et qui plus est offrent l’anonymat aux bénéficiaires finaux…
Coup d’Etat planétaaire 2019
La Suisse fait face actuellement à une pénurie de certains médicaments », RTS, août 2018
Pas de hasard donc. Les pénuries sont le fruit d’une part de l’accaparement par la poignée d’individus qui se sont appropriés l’ensemble des processus d’activités industrielles, des ressources naturelles, etc.. Et d’autre part, leur liberté absolu de fixer des prix aussi élevés qu’ils souhaitent. Quand ils augmentent les prix artificiellement, il s’agit de vol et non d’hyperinflation……
Nous faisons face à un ennemi biblique historique.
Il n’y a rien de nouveau ici,c’est une répétition biblique d’un petit groupe d’oligarches psychopathes qui croient avoir le droit de décider de combien de gens peuvent vivre sur Terre et qui peut être libre.
Ils nient l’existence de Dieu et le caractère sacré de la vie humaine.
La seule raison pr laquelle ils existent c’est qu’on les laisse exister.
Remettons en cause le caractère sacré de la vie humaine,du genre,du mariage. Il a été érigé l’immoralité et la diablerie en lois.
Et cela crée un vide où la dégénérescence prospère.
Ns devons dc affronter l’ennemi sur plusieurs fronts.
Déjà ns devons faire un travail interne et réconcilier les cœurs humains avec le Créateur et rejeter le Dieu de la Science,de la technologie,de la spéculation(…)
Et d’un côté ce »Great Reset »y contribue car les gens se rendent compte qu’ils ont placé leurs espoirs sur des gouvernements,science,et été manipulés. »