La dangerosité réelle du masque devient imaginaire.

Paradoxe des peurs et de la réalité de la menace

C’est là que l’on touche du doigt un énorme paradoxe.
Ce public n’a pas peur de porter pendant des heures, des jours,
des semaines, des mois un produit factuellement dangereux.
Une dangerosité dont on peut discuter des conséquences, mais dont nul (honnête) ne peut nier la réalité. Je vous rappelle que nous naissons sans masque et que l’espèce a pu survivre jusqu’à présent. Que le masque est à l’intérieur de notre corps dans nos systèmes de défense contre les agressions extérieures.
La peur de cet objet objectivement dangereux n’est pas conscientisée.
En revanche :
Les porteurs de masque ont peur d’un virus qu’ils n’ont jamais vu
pour lequel ils ont besoin de faire un test pour savoir s’ils sont « malades »
et dont la mortalité est statistiquement anodine.
Qui connaît une personne jeune, en bonne santé, non vaccinée, qui aurait été terrassée par ce virus ? Je pense que je peux répondre sans risque : Personne !
Je peux affirmer que les masqués dans la rue ou dans le bus sont aussi les vaccinés. Vous connaissez peut être une exception sait-on jamais ?!
Plus vous avez de doses de rappels et plus il est probable
que vous ayez peur de ce virus et plus vous êtes masqué.
Et c’est là que l’on touche au merveilleux. Le multi-injecté croit que son vaccin le protège des formes graves. Il en est à ce point convaincu qu’à sa sortie de réa diagnostiqué Covid, il pourra déclarer sans sourciller :
« Heureusement que j’étais vacciné », sous-entendu que le vaccin lui a sauvé la vie.
N’espérons pas faire pénétrer le doute et lui suggérer que le dit vaccin serait totalement inefficace ou pire, à l’origine de ses troubles.
Le multivacciné est donc à la fois intimement convaincu de l’efficacité
de ses injections et en même temps, a d’autant plus peur du Covid qu’il a de doses !
Plus il sera protégé et plus il sera prompt à remettre un masque.
Ce multirécidiviste de l’injection « efficace et inoffensive » se sentira protégé d’un virus mortel par un masque dont la dangerosité réelle sera de fait totalement inexistante.
Parler d’un rapport bénéfice vs risque pour le masque n’a donc pas de sens pour celui qui le porte « volontairement ».
Face à la peur de mourir :

La dangerosité réelle du masque devient imaginaire.

Tandis que :

L’efficacité imaginaire du masque devient réelle, réelle, car anxiolytique.

La question est donc :
Cette masse a-t-elle encore assez peur pour se masquer massivement et exiger plus de dictature ou pas ? L’augmentation du nombre de masques dans la rue ou les magasins n’est pas forcément rassurante, mais il est à mettre en balance avec le taux ridicule de personnes qui ont fait leur bivalent……

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