Les CDC annoncent l’arrivée du virus de Marburg

Est ce vraiment un virus ?

Un tel titre peut à la fois provoquer la terreur et l’angoisse, “…la prochaine “pandémie”, sous la forme du virus de Marburg, arriverait bientôt…”, et comment va-t-elle arriver ? En avion, en train, en bateau à voile ou à vapeur ? Qui sont les porteurs, sont-ils déjà parmi nous, David Vincent est-il sur la piste de ces envahisseurs ?😂

Les CDC sont en définitif très bien renseignés, trop peut-être, ne trouvez-vous pas ?

Dans le même temps, ce titre induit une terrible interrogation : comment les CDC peuvent-ils faire une telle annonce avec un tel aplomb, une telle certitude, alors que le Marburg, père du virus Ébola (OGM), est détenu uniquement dans les frigos des laboratoires les plus protégés du monde et sous licence de la Fondation Bill@Melinda Gates et de l’armée des États-Unis ?

Imaginons – c’est une supposition de “complotiste” – que ces laboratoires producteurs de vaccins soient en réalité parvenus à injecter à l’insu des millions de vaccinés COVID-19, une souche de Marburg dissimulée à travers le Graphène, les nanotechnologies et les parasites contenus dans les vaccins de thérapie génique ?

Ce ne serait pas la première fois que ces fabricants assassins, glisseraient dans leurs vaccins plusieurs souches virales pour un maximum de rentabilité, c’est exactement ce qu’ils font avec les vaccins pour enfants. Leur intention étant de continuer à nuire, on peut supposer que nous approchons de la vérité, et que celle-ci devient alors brûlante tel un buisson ardent.

“Un communiqué de presse des NIH présente le vaccin MVD, qui utilise un “adénovirus de chimpanzé modifié” et “une glycoprotéine trouvée à la surface” du virus de Marburg pour induire une réponse immunitaire”

Comme par hasard, c’est pratiquement la même souche que l’on trouve dans le vaccin Moderna contre le COVID-19, un “adénovirus de chimpanzé modifié” ? Prendrait-on les mêmes pour nous rejouer la Plandémie Covid ?

Dans ce cas précis, on peut aisément prolonger notre questionnement en insistant sur le fait que cette valence, que ce virus intégré aux vaccins COVID pourrait émerger à un moment déterminé par un plan du Forum économique, par exemple, grâce à une connexion 5G, à la faveur de l’envoi d’une fréquence particulière – imaginons 18hz – qui libérerait dans le corps, le virus en question et qui ferait émerger – de facto – une nouvelle et terrible pandémie Marburg/Ebola, d’abord chez les vaccinés, puis chez les non vaccinés contaminés par les vaccinés.

“Selon l’agence de santé publique, la MVD peut se propager par le “sang ou les fluides corporels d’une personne infectée ou décédée de la maladie”. En outre, le virus peut également se propager par le biais d’objets contaminés ou par contact avec des animaux tels que les chauves-souris.

Souvenez-vous, les vaccinés par les vaccins contre la variole, contre la polio l’ont transmise aux non vaccinés par leurs fluides et sécrétions, que la rougeole atypique se transmet également à travers la vaccination, et que le vaccin a toujours été un vecteur de transmission de la maladie ; cela fait plus de dix ans qu’il est apporté des preuves à travers des publications, et c’est également ce qui explique pourquoi beaucoup sont censuré.

Nous vivons une époque formi…Diable!

Les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) ont prévenu que la prochaine “pandémie”, sous la forme du virus de Marburg, arriverait bientôt.

Cette mise en garde fait suite à l’apparition d’un foyer de maladie à virus de Marburg (MVD) dans deux pays africains : la Guinée équatoriale, en Afrique de l’Ouest, et la Tanzanie, en Afrique de l’Est. Le CDC a réagi en envoyant son centre national pour les maladies infectieuses émergentes et zoonotiques dans les deux pays. Il a également recommandé aux voyageurs des deux pays d’éviter tout contact avec les personnes malades et les établissements de santé dans les zones touchées, et de surveiller l’apparition de symptômes pendant les trois semaines suivant leur départ.

Selon l’agence de santé publique, la MVD peut se propager par le “sang ou les fluides corporels d’une personne infectée ou décédée de la maladie”. En outre, le virus peut également se propager par le biais d’objets contaminés ou par contact avec des animaux tels que les chauves-souris.

https://www.foxnews.com/health/cdc-warns-marburg-virus-deadly-africa-outbreak

Le diagnostic clinique de la MVD peut être difficile, surtout s’il n’y a qu’un seul cas. En effet, de nombreux symptômes de la MVD sont similaires à ceux d’autres maladies telles que le paludisme, la fièvre typhoïde, la fièvre de Lassa ou Ebola.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a confirmé l’existence d’un foyer de MVD en Tanzanie, avec huit cas officiels et cinq décès. Elle a également confirmé une situation similaire en Guinée équatoriale, avec neuf cas officiels de MVD et 20 cas probables supplémentaires, tous décédés.

Selon l’organisation mondiale de la santé, trois des provinces touchées en Guinée équatoriale – Kie-Ntem, Litoral et Centre Sur – “ont des frontières internationales avec le Cameroun et le Gabon”. L’OMS poursuit :

“Les mouvements de population transfrontaliers sont fréquents et les frontières sont très poreuses. Bien qu’aucun cas de MVD n’ait été signalé en dehors de la Guinée équatoriale, le risque de propagation internationale ne peut être exclu”.

Un autre vaccin en préparation pour la pandémie

https://www.nih.gov/news-events/news-releases/marburg-vaccine-shows-promising-results-first-human-study

“Bien qu’aucun vaccin ou traitement antiviral ne soit approuvé pour traiter le virus, les soins de soutien par réhydratation par voie orale ou intraveineuse et le traitement de symptômes spécifiques améliorent la survie”, a fait remarquer l’OMS. “Une série de traitements potentiels sont en cours d’évaluation, notamment des produits sanguins, des immunothérapies et des pharmacothérapies.

Les National Institutes of Health (NIH) ont indiqué en janvier que les essais sur l’homme d’un vaccin contre la MVD semblaient “prometteurs”. Cependant, on ne peut s’empêcher d’être sceptique étant donné que les NIH ont également joué un rôle dans le développement du vaccin contre le coronavirus de Wuhan (COVID-19) associé à une myriade d’effets néfastes.

Un communiqué de presse des NIH présente le vaccin MVD, qui utilise un “adénovirus de chimpanzé modifié” et “une glycoprotéine trouvée à la surface” du virus de Marburg pour induire une réponse immunitaire. L’injection a été mise au point au Centre de recherche sur les vaccins de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), sous l’égide des NIH. Avant de prendre sa retraite en décembre 2022, le Dr Anthony Fauci, spécialiste des maladies infectieuses, occupait le poste de directeur du NIAID. (Voir aussi : Virus de Fauci : De nouvelles preuves choquantes prouvent que le covid-19 a commencé avec le Dr Anthony Fauci et le NIAID).

Le communiqué de presse des NIH affirme qu’il n’y a pas eu d’effets indésirables graves pendant l’essai vaccinal et que le vaccin expérimental a été bien toléré. Il affirme également que le vaccin contre la MVD “semble induire une immunité forte et durable”, 95 % des participants à l’essai ayant présenté une réponse anticorps robuste après la vaccination et 70 % ayant maintenu cette réponse robuste au-delà de 48 semaines.

  • “Le vaccin mis au point par les chercheurs du NIAID (…) pourrait un jour constituer un outil important pour répondre aux épidémies du virus de Marburg”

indique le communiqué de presse. Toutefois, un rapport d’En-Volve ne partage pas cet avis :

“Si le problème se généralise, il sera difficile d’imaginer qu’il ne s’agit pas d’une nouvelle escroquerie.

Visitez Outbreak.news pour plus d’informations sur le virus de Marburg et la MVD.

L’avocat Todd Callender prévient Maria Zeee que Marburg is the next “plandemic”

https://larealitecacheedumondeactuel.com/2023/03/30/marbrug-et-si-cetait-vrais/

La Tanzanie confirme la première épidémie de maladie à virus Marburg

21 mars 2023

Brazzaville/Dar es Salaam – La Tanzanie a confirmé ses tout premiers cas de maladie à virus Marburg après que des tests en laboratoire ont été effectués suite au signalement de cas et de décès dans la région de Kagera, dans le nord-ouest du pays.

Le Laboratoire public national de la santé de Tanzanie a analysé des échantillons afin de déterminer la cause de la maladie après que huit personnes ont développé des symptômes, parmi lesquels la fièvre, des vomissements, des saignements et une insuffisance rénale. Cinq des huit cas, dont un travailleur de la santé, sont décédés et les trois autres patients sont en cours de traitement. Au total, 161 contacts ont été identifiés et sont suivis.

« Les efforts fournis par les autorités sanitaires de la Tanzanie pour établir la cause de la maladie constituent une indication claire de la détermination à riposter efficacement à l’épidémie. Nous travaillons avec le gouvernement pour rapidement étendre les mesures de contrôle afin d’arrêter la propagation du virus et de mettre fin à l’épidémie dès que possible », a déclaré la Dre Matshidiso Moeti, Directrice régionale de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) pour l’Afrique.

L’OMS soutient le Ministère de la santé pour le déploiement d’une équipe d’urgence dans la région de Kagera afin de mener davantage d’investigations épidémiologiques. L’équipe d’urgence concentrera ses recherches actives sur la communauté et les structures sanitaires locales, ainsi que l’identification de plus de contacts à qui elle fournira les soins appropriés.

Bien que la Tanzanie n’ait jamais enregistré de cas de Marburg auparavant, le pays a eu à riposter à d’autres urgences sanitaires, notamment la COVID-19, le choléra et la dengue au cours des trois dernières années. Une évaluation stratégique des risques menée par l’OMS en septembre 2022 a montré que le pays est exposé à un risque élevé à très élevé d’épidémies de maladies infectieuses. « Les leçons tirées et les progrès réalisés lors des récentes épidémies devraient placer le pays en bonne position au moment d’affronter ce nouveau défi », a ajouté la Dre Moeti. « Nous continuerons à travailler étroitement avec les autorités sanitaires pour sauver des vies. »

La maladie à virus Marburg est extrêmement virulente et provoque une fièvre hémorragique, avec un taux de mortalité allant jusqu’à 88 %. Le virus appartient à la même famille que celui qui cause la maladie à virus Ebola. La maladie provoquée par le virus Marburg commence soudainement avec une forte fièvre, de sévères maux de tête et malaises. De nombreux patients développent des symptômes hémorragiques graves dans un délai de sept jours. Le virus est transmis aux personnes par des chauve-souris et se propage parmi les humains par contact direct avec des fluides corporels de personnes infectées, des surfaces et des objets contaminés.

Il n’existe pas de vaccins ou de traitements antiviraux approuvés pour traiter le virus. Néanmoins, des soins de soutien – réhydratation avec des fluides par voie orale ou intraveineuse – et le traitement de symptômes spécifiques, améliorent les chances de survie.

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